AhmedAl ajmi ou Ahmed Ibn Ali Ibn Mohammed Al Soulaimane Al Ajmi est un réciteur et imam saoudien, il est né le 24 février 1968 à Al Khabr (Arabie Saoudite). Ahmed Al ajmi a passé sa scolarité primaire à l'école 'Al Mohammedia' au sud d'Al Khabr. Il a étudié au collège 'Azoubair Ibn Awam' avant de poursuivre ses études scolaires au LAmour des autres, de son prochain. Proposer à son prochain une vie heureuse, la vie et non pas la mort. La faute est aux ordures qui nous gouvernent, qui ont tué toute référence à Dieu. C’est sûr que cela gène beaucoup ceux qui ont des mauvaises intentions, ces « abominables » 10 commandements!! Publications Actes en ligne depuis 1989. Index des intervenants. Florilège des Actes 1963-2003. Publications des biennalistes. Autres publications. Partenaires. Contact. Accueil Les Actes de la XXVIIIe Biennale B28 Interventions B28 Abdelaziz BERKAI. Vidéode MorandiniZap en replay et à la demande, publiée le 24/09/2016. QuozNetwork. Forums ; Chat Voici les premiers pas de Leila Kaddour à la présentation du 20h de France 2 - Regardez Zapping - Vu sur MorandiniZap Publié le 24/09/2016. Cliquez sur l'image pour déclencher la lecture de la vidéo. Vidéo de "MorandiniZap" en replay et à la demande Playlist intégrale : Néanmoins la dépendance énergétique du Maroc est passée seulement de 97,5% en 2009 à 90,51 aujourd’hui. Pour Leila Benali, qui intervenait à la cérémonie d'ouverture des salons de la FENELEC, le retour sur capital investi dans les Maisà la fin, d’une manière ou d’une autre, ils t’auront. ». - Omar Radi, journaliste. Le journaliste indépendant Omar Radi, 33 ans, avait l'air un peu fatigué ce 15 juillet 2020 WNxLR. [Paroles de "À qui la faute Remix" ft. Ghenda][Intro]Oh-ohOh-oh-oh[Couplet unique]Simplement, il faut qu'je me livreJ'veux pas qu'on se dise qu'on a juste raté l'occas'Forcément, c'est toi qui m'enivreJ'ai peur, tu m'attires mais j'veux pas rater l'occas'[Pré-refrain]J'ferai jamais de trêve et tant pis si j'en crèveCe genre de sentiments qui poussent à faire des bails sombresTu m'regardes à peine et même pas tu rappellesFaut qu'on s'aime autrement, j'ai plus le temps de faire semblant[Refrain]À qui la faute ? Dans le vide, je sauteJ'me raccroche à nous deux, oh-ohJ'ai perdu ma santé, j'pourrais pas faire sans toiJ'me raccroche à nous deux, eh-eh[Post-refrain]Je patiente comme un condamné, j'me contente de ce qu'on m'donneLes souvenirs communs qu'on avait s'effaceront et c'est comme d'hab'Je patiente comme un condamné, j'me contente de ce qu'on m'donneLes souvenirs communs qu'on avait s'effaceront et c'est comme d'hab'[Outro]Oh-oh-ohOh-ohOh-oh-ohMmh-mmhHow to Format LyricsType out all lyrics, even repeating song parts like the chorusLyrics should be broken down into individual linesUse section headers above different song parts like [Verse], [Chorus], italics lyric and bold lyric to distinguish between different vocalists in the same song partIf you don’t understand a lyric, use [?]To learn more, check out our transcription guide or visit our transcribers forum Enquête sur un scandale d'état Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires note moyenne 2,7 1331 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Enquête sur un scandale d'état ? 219 critiques spectateurs 5 13 critiques 4 25 critiques 3 44 critiques 2 66 critiques 1 49 critiques 0 22 critiques Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés Je ne comprends pas l'engouement de la presse. Le film est trop bavard pour pas grand chose, comporte de trop nombreuses scènes qui sont inutiles et par conséquent chiantes et qui durent des plombes. Il y a un véritable manque de rythme et ça part dans tous les sens au niveau de l'histoire. On ne comprend pas tout et du coup on reste extérieur du film. C'est dommage car le sujet est intéressant et les acteurs sont bien. En plaisantant, Thierry de Peretti indique que Enquête sur un scandale d’État est son premier film "français" après deux longs-métrages consacrés à sa Corse natale. Il n'y a cependant pas de dépaysement dans la manière du cinéaste, qui refuse le spectaculaire et préfère les conversations malheureusement pas toujours faciles à entendre, pour cause de bruits de fond ou d’enchevêtrements de paroles pour nous immerger dans un faux thriller en pleines zones grises. Au-delà de ce qui constitue la trame du film, les dérives de l’État dans la lutte anti-drogue, c'est l'alliance entre un journaliste d'investigation et un "employé" des stups, qui agissait comme infiltré, qui intéresse de Peretti. On reconnait la patte du réalisateur dans cette minutie obsessionnelle des détails et un hyperréalisme très documenté. Ce n'est pas que le film soit fastidieux mais il semble tellement obsessionnel quant au traitement de son sujet qu'il n'y a nulle part d'espace pour respirer un peu et se détendre ? y compris dans les nombreuses scènes dans une salle de rédaction. On aimerait tenir là une œuvre à la Pakula ou à la Rosi, ce qui est rare dans le cinéma hexagonal, mais de Peretti s'impose à lui-même et aux spectateurs une telle exigence dans son récit qu'il en devient filandreux et parfois même opaque. Trois acteurs se détachent largement du lot Roschdy Zem, Pio Marmaï et Vincent Lindon, impeccables, dans un film très masculin qui ne s'autorise aucune sortie de route sentimentale ou humoristique. C’est en 2015 qu’a éclatée ce qu’on a appelé L’affaire François Thierry , du nom du patron de l’Ocrtis, Office central pour la répression du trafic illicite des stupéfiants, soupçonné d’avoir favorisé l’importation de quantités importantes de cannabis et d’être en lien avec Sofiane Hambli, un des plus importants trafiquants de drogue en Europe. Au départ, l’interception par les Douanes de trois camionnettes garées Boulevard Exelmans, dans le 16ème arrondissement de Paris, et dans lesquelles on trouve 7 tonnes de cannabis et la mention du nom de Sofiane Hambli. En parallèle, pris de doute sur le bien-fondé des actions auxquelles il participait, Hubert Avoine, un homme employé par l’Ocrtis pour différentes missions d’infiltration après avoir été infiltré dans les cartels mexicains pour le compte de l’agence antidrogue américaine, s’est mis à dénoncer les méthodes de François Thierry à la justice ainsi qu’à un journaliste de Libération, Emmanuel Fansten. En mars 2017, L’infiltré », un livre écrit par Hubert Avoine et Emmanuel Fansten est sorti en librairie. Quelques mois plus tard, un cancer a emporté Hubert de ce livre que Thierry de Peretti, qui, jusqu’ici, avait réalisé ses films en Corse, s’est librement inspiré pour "Enquête sur un scandale d’état". Librement mais avec toutefois beaucoup de points communs entre la fiction et la réalité des faits ! Les noms des personnages ne font pas partie des points communs ils ont tous été changés ! François Thierry est devenu Jacques Billard, interprété par Vincent Lindon, Hubert Avoine est devenu Hubert Antoine, interprété par Roschdy Zem et Emmanuel Fansten apparait sous le nom de Stéphane Vilner, interprété par Pio Marmaï. Par ailleurs, le réalisateur a choisi de laisser planer le doute sur ce qui est, finalement, le fond de l’affaire Hubert Antoine, l’infiltré qui crache le morceau », dit-il le vrai lorsqu’il parle des méthodes de Jacques Billard, auquel cas on peut en effet parler d’un scandale d’état, ou bien n’est-il qu’un affabulateur ? En plus, si Hubert Antoine est un affabulateur, quelle est la part de vérité, quelle est la part de mensonge dans ce qu’il raconte ? Jacques Billard ne s’efforce-t-il pas sincèrement de combattre le marché de la drogue avec, certes, des méthodes contestables mais, peut-être, efficaces ? Se pose alors la question jusqu’où peut-on aller dans l’illégalité pour combattre l’illégalité ? Cette chape grise posée sur l’histoire par le réalisateur rend parfois délicate la compréhension du film mais le rend incontestablement passionnant à suivre. Ce film est raté. Le réalisateur passe à côté du sujet et se perd en route, oubliant le cœur du film le scandale d’état. Il s’acharne à nous montrer des passages inutiles. Les attentes sur ce film étaient pourtant fortes. Enquête sur un scandale d’état » de Thierry de Peretti 2022 est basé sur un scénario intéressant tiré d’une histoire vraie. En Octobre 2015, les douanes saisissent 7 tonnes de cannabis en plein Paris et Hubert Antoine Roschdy Zem, un ancien infiltré des stups, contacte Stéphane Vilner Pio Marmaï, journaliste de Libération, affirmant l’existence d’un trafic d’État dirigé par Jacques Billard Vincent Lindon, le grand chef des stups ... même si on ne sait pas pourquoi cet infiltré a été viré et depuis quand, et pour quelle raison – alors qu’il est atteint d’un cancer du poumon – il veut révéler l’affaire pour de l’argent, par vengeance ou apparemment pour dénoncer un système dans lequel il a quand même trempé pendant plusieurs années ? Malgré ces acteurs de renom, le film devient très rapidement brouillon avec une bande son criarde et on n’y comprend strictement rien ! On tape sur plusieurs hommes politiques et on revient même sur le SAC puis la DGSE qui auraient aidé le GAL, une milice espagnole formule d’anciens barbouzes visant à éliminer les membres de l’ETA ! On évoque une collusion dans les hautes sphères nébuleuses de l’Etat entre les stups, le grand banditisme, le terrorisme sic, les échanges d’otages et pour ma part j’ajouterai la vente d’armes. La seule question intéressante posée par la Procureure Valeria Bruni Tedeschi est Jusqu’où peut-on aller dans l’illégalité pour combattre l’illégalité ? ». Un film malheureusement raté et on est bien loin des films politiques d’André Cayatte ou de Costa-Gavras. Quel crédit apporter à ce qui fut une source et qui souffre aujourd'hui de disgrâce ...?!! Déjà une source à la base...Sujet intéressant, peu connu et le réalisateur évite la est impayable quand il appelle Zem CANARD Malgré tout, cela manque un peu de romanesque, de souffle... trop de BLABLABLA BLA BLA Quelle déception !! D'autant qu'avec un trio d'acteurs top, donc prometteurs, Roschdy Zem, dans un rôle sombre compliqué, Pio Marmaï, un peu tout fou, Vincent Lindon, costume habituel, endossant un personnage plus ordinaire, fade, absent. Pendant plus de deux heures, et un nombre probablement record d'échanges, j'avoue avoir eu du mal à tout comprendre, les phrases décousues, déséquilibrées, inaudibles.... De nombreuses scènes dans les bars ou nightclub, sombres, n'aident pas à la transparence. Bref, difficile d'adhérer à ce récit trouble, sans preuve, même pendant les scènes de procès, qui n'éclairent rien. A l'image des réflexions entendues à la sortie de la salle, je me suis senti moins seul, ayant eu un doute sur ces 2 heures passées, voire subies. Candidat à la palme de l'ennui, et d'une des pires Musiques de film entendues, je ne peux vous le recommandez honnêtement .... !!** Très déçu par le film. L'histoire était pourtant très forte et l'idée d'une adaptation en film vraiment prometteuse. Je trouve que le film est extrêmement bavard, et on ne comprend pas tout au final, c'est assez mal écrit. Je n'ai pas non plus aimé la mise en scène, qui va de pair avec les problèmes d'écritures. Les longs dialogues sont encore plus appuyés par des loooongs plans séquences. Soit très lents lorsqu'il y a des mouvements caméras ou de grue à mon sens inutile dans la majorité des plans où ils sont présents, soit très long en plan fixe, qui n'apporte absolument rien au propos et qui personnellement m'a plus perdu qu'autre chose car le non-rythme en l'absence de champ/contre-champ sur les longs dialogues casse l'intérêt porté aux répliques et donc au propos. J'ai décroché souvent. Avec rien pour me raccrocher la plupart du n'ai pas aimé la photographie non plus. J'ai trouvé globalement que la lumière n'était pas très belle, sous-exposé, avec un piqué d'image très mauvais. J'ai pour exemple par exemple cette scène dans le restaurant où ils sont tous les deux face à face, à côté d'une vitre donnant sur la rue. La lumière extérieure est complètement cramé, et les acteurs on n'a bien du mal à les voir tellement ils sont pratiquement dans la pénombre. C'est assez étonnant ces choix. Je n'ai pas l'autre gros problème, technique là aussi, vient du son. Que j'ai également trouvé très mauvais. Que ce soit la prise de son le son de la scène d'ouverture est assez flagrante comme exemple, mais aussi le mixage, il y a beaucoup de scène où les voix sont difficilement perceptibles avec les sons d'ambiances et environnants. Là aussi très donc une véritable déception, je n'ai pas du tout été embarqué, ni par l'écriture, ni par sa mise en scène que j'ai trouvé très faible et peu intéressante. Ne faites pas l'erreur de perdre 10€ pour aller voir ce film en salle, il est presque sans intérêt. Alors que je m'attendais à voir un film tendu, sur une enquête engagée qui ferait du film un vecteur de contestation, je me retrouve devant un film extrêmement mou, qui dès le début commence à m'ennuyer. Donc forcément je n'ai jamais réussi à accrocher au récit. La mise en scène est nulle, les dialogues à rallonge et de nombreuses scènes sont inutiles, quand elles ne sont pas étirées en longueur...Bref un film à éviter, qui ne vaut quelque chose que part ses acteurs et notre sentiment qu'il soit passé à côté de son sujet. Hubert Avoine, ancien infiltré pour l’Office central de répression du trafic a écrit sa propre histoire avec le journaliste Emmanuel Fansten, de Libération. On la découvre dans ce film sur un axe bien particulier celui d’un trafic d’Etat dans le monde de la drogue entre l’Espagne et la France. Hubert Avoine a été le témoin de tractations mafieuses, en y participant parfois même à la demande du grand patron des stups Jacque Billard. Une belle affaire donc, une belle histoire qui malheureusement est racontée et filmée sans entrain. Cette affaire d’Etat de la plus haute importance. Thierry de Peretti en fait un simple constat de greffier, une lecture laborieuse, monotone …. Dans ce film très bavard, trop bavard, on escamote les situations, on rogne une mise en scène sur des effets narratifs inutiles, on reprend le cours de l’Histoire de la V ème République dans un pensum didactique ridicule. Les acteurs subissent-ils le contre coup de cette réalisation fourre-tout ? Roschdy Zem, Pio Marmai, Vincent Lindon, ces comédiens talentueux sont inexistants, fades, impersonnels. Les seconds rôles à la limite apportent plus de crédibilité au récit Julie Moulier, Marilyne Canto, Valeria Bruni Tedeschi. Tiens, que des femmes ! Un nouveau scandale d’Etat ?Pour en savoir plus Le film raconte comment un ancien infiltré des stups, Hubert Antoine en l’occurrence, contacte un journaliste à Libération pour dénoncer l’existence d’un trafic d’État dirigé par un haut gradé de la police française. Malgré un casting notable, un sujet important et surement une volonté de bien faire, le film de Thierry de Peretti échoue malheureusement et lamentablement dans tout ce qu’il entreprend. Le cinéaste a fait le choix de refuser le spectaculaire au détriment de conversations politiques, juridiques et historiques qui n’en finissent pas, tuant à chaque instant, de plus en plus un rythme déjà handicapé par un manque de mise en scène innovante…Une pure cacophonie verbale où le spectateur se demandera sans cesse s’il n’aurait pas dû réviser ses cours de fac de droit tellement ce dernier aura l’impression d’assister à un cas pratique de jurisprudence…Ce thriller raté se reproche plus d'un épisode de complément d'enquête que d'un film de cinéma. A la tête de l’OCRTIS, l’office centrale pour la répression du trafic illicite des stupéfiants, le commissaire Jacques Billard Vincent Lindon entend déployer une stratégie novatrice. Plutôt que de procéder à des saisies soi-disant record, sans effet de long terme sur les trafics, il entend pister les cargaisons, identifier tous les trafiquants et procéder à des interpellations massives pour décapiter les politique a un inconvénient elle autorise, fût-ce temporairement, des importations massives, avec le risque qu’une partie de la drogue pistée échappe au contrôle et soit finalement cette faille que pointe Hubert Antoine Roschdy Zem, un informateur de l’OCTRIS devenu lanceur d’alerte. Il s’en ouvre à Stéphane Vilner Pio Marmaï, un journaliste de "Libération" qui, après avoir recoupé les informations dont il dispose, décide, avec l’appui de sa rédaction, de publier le allé à reculons à l’avant-première de Enquête sur un scandale d’Etat. Parce que rien ne m’horripile plus que cette expression, scandale d’Etat, utilisée ad nauseam dès qu’une mesure gouvernementale déplaît. Parce que je craignais de voir un énième polar consacré à des flics ripoux et/ou à des trafiquants troubles et/ou à des journalistes première heure de ce film qui en dure plus de deux confortait mes préjugés. Je n’y comprenais pas grand chose. Un dialogue sur deux m’échappait la faute à ma surdité naissante ? Les plans séquences tremblotants risquent de donner le tournis aux plus au bout d’une heure, les pièces du puzzle, lentement, s’assemblaient. Je découvrais alors un film rare, comme je n’en avais jamais vus. Une fiction filmée comme un documentaire. Thierry de Peretti, dont les deux premiers films ne laissaient pas présager le talent, invente une forme étonnante et séduisante alors même que le texte est écrit à la virgule, qu’il est interprété par des acteurs connus, il donne, grâce au jeu des caméras et du montage, l’impression frappante de l’image volée, filmée en temps qualité du film son absence de manichéisme. Adapté du livre d’Emmanuel Fansten le journaliste de "Libération" et d’Hubert Avoine l’informateur des Stups, il aurait pu – comme son titre d’ailleurs le laissait augurer – basculer dans le procès à charge, opposant le lanceur d’alerte vertueux au grand flic ripou. C’était le défaut de "Gibraltar" l’histoire d’un aviseur des douanes françaises et de "L’Enquête" sur l’affaire Clearstream. Rien de tel ici où Thierry de Peretti a le mérite de maintenir la balance égale, ou, à tout le moins, de ne pas la faire outrancièrement pencher d’un seul côté il ne tait rien des zones d’ombre d’Antoine/Avoine et donne la parole longuement, dans une scène de procès remarquable, à Billard/Thierry pour se défendre. C’est très mauvais, tout d’abord, peut-être que est intéressant, mais on ne le sera jamais car, le récit est vraiment bordélique, c’est un brouillon ; car si quelqu’un n’étant pas initié au sujet, comme je l’étais lors de la projection, veux regarder ce film, il est dans une impasse car il n’y a aucun contexte et aucune explication. Le récit manque tellement de clarté que j’ai eu du mal à saisir les enjeux. Sans compter que les dialogues sont inutilement complexes, c’est-à-dire que le vocabulaire utilisé par les personnages a presque été écrit pour se donner un air de petit génie. Les seuls points disons sympathiques sont le montage et la mise en scène, en effet, les plans sont très longs ; ce qui donne un aspect brut, ou pure de chaque scène, sans tricherie. Après c’est pas le montage qui va me convaincre de voir une deuxième fois ce dire que je ne conseille pas ce film. Film sans scénario agréable et dynamique,triste discussion entre les acteurs, on se perd et on se fatigue, quelques belles images du Sud avec un physique agréable des acteurs On perd son temps c'est dommage. Vu grâce au ton du film est très réaliste, parfois proche du documentaire, s'appuyant notamment sur une réalisation faite de nombreux et longs plan-sequence qui laissent un immense champ d'expression aux comédiens. Lesquels sont d'ailleurs très bons et habités par leurs personnages. L'histoire quant à elle dépasse l'entendement et fait du film un très bon polar. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse Lorsqu’un salarié est victime de propos et de comportements racistes, l’employeur doit intervenir rapidement. En effet, cette situation peut notamment avoir des conséquences graves pour la santé et la sécurité du salarié. Et il faut savoir qu’en matière de santé et sécurité, l’employeur a une obligation de résultat. S’il ne réagit pas, il peut commettre une faute inexcusable lourde de conséquences et comportements racistes quel est le pouvoir disciplinaire de l’employeur ? Tenir des propos racistes est un délit réprimé par le Code pénal. Les propos racistes tenus par un salarié à l’égard d’un de ses collègues peuvent également être constitutifs d’une faute grave. Pour en savoir plus et connaître l’étendue de vos droits et des limites à ne pas franchir, les Editions Tissot vous conseillent leur Formation sanction disciplinaire ce que vous pouvez faire et ne devez pas faire ». Il faut savoir que même si les faits ont lieu en dehors des horaires de travail, le salarié peut être licencié pour faute grave. Pour plus de précision, consultez notre article Ai-je le droit de sanctionner un salarié qui tient des propos à connotation raciste à l’égard d’un collègue sur son lieu de travail après son service ? ». Propos et comportements racistes attention au harcèlement moral Si vous apprenez qu’un salarié est victime de propos ou de comportements racistes, il est impératif de réagir rapidement afin que ces situations ne se répètent pas et qu’elles dégénèrent en harcèlement moral. Pour rappel, en matière de santé et de sécurité au travail, vous devez prendre les mesures nécessaires pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs Code du travail, art. L. 4121–1. Vous avez une obligation de résultat tout doit être mis en œuvre dans le but de protéger la santé des travailleurs. Dans la situation d’un salarié victime de propos racistes, vous devez agir pour le préserver du danger de harcèlement moral. Et sachez que la reconnaissance de la faute inexcusable est lourde de conséquences financières pour l’entreprise. La victime a droit notamment à une indemnisation complémentaire à celle qui lui est versée en cas de maladie professionnelle. Cour de cassation, chambre civile 2, 13 mars 2014, n° 13–13902 l’employeur ayant une obligation de résultat de sécurité doit agir lors qu’un salarié est victime de propos et de comportements ouvertement racistes Your access to this service has been limited. HTTP response code 503 If you think you have been blocked in error, contact the owner of this site for assistance. If you are a WordPress user with administrative privileges on this site please enter your email in the box below and click "Send". You will then receive an email that helps you regain access. Block Technical Data Block Reason Access from your area has been temporarily limited for security reasons Time Wed, 17 Aug 2022 42239 GMT About Wordfence Wordfence is a security plugin installed on over 4 million WordPress sites. The owner of this site is using Wordfence to manage access to their site. You can also read the documentation to learn about Wordfence's blocking tools, or visit to learn more about Wordfence. Click here to learn more Documentation opens in new tab Generated by Wordfence at Wed, 17 Aug 2022 42239 computer's time . La règle étant qu’un participe passé employé avec avoir » ne s’accorde jamais avec son sujet elle a mangé », on oublie qu’il peut s’accorder avec autre chose… et on écrit les verbes que j’ai conjugué, j’ai oublié de les accorder » au lieu de les verbes que j’ai conjugués, j’ai oublié de les accorder ». Pour ne plus commettre cette faute et beaucoup d’autres testez gratuitement nos modules d’entraînement sur plus de 7 millions d’utilisateurs ! Avis de l’expert – Bruno Dewaele, champion du monde d’orthographe, professeur agrégé de lettres modernes Voilà une règle que l’on respecte de moins en moins, à l’oral comme à l’écrit, et que nombre de grammairiens eux-mêmes se plaisent à trouver artificielle ! Elle n’en reste pas moins en vigueur depuis que le poète Clément Marot l’a établie au XVIe siècle. Vaugelas reconnaissait déjà Dans la grammaire française, il n’y a rien de plus important, ni de plus ignoré. » Il parlait d’or, et ne serait guère dépaysé dans notre millénaire… Exercices cherchez les erreurs Il n’a pas tenu la promesse qu’il nous avait faite. La douleur que j’ai ressenti ne me dit rien qui vaille. Le garçon a rapidement ramassé la monnaie que j’avais laissé sur la table. Il est bien temps de regretter les bêtises que tu as dit ! Les dictionnaires que j’ai consultés allaient tous dans le même sens. Je n’ai pas lu tous les journaux que j’ai achetés. L’offre qu’a refusé notre correspondant était pourtant alléchante. La secrétaire que le patron a renvoyé a aussitôt retrouvé du travail. La lettre que lui a adressée le client mécontent était d’une rare violence. La journée de repos que j’ai prise m’a fait le plus grand bien. Réponses Phrase correcte. Faux. Il faut écrire La douleur que j’ai ressentie ne me dit rien qui vaille. Le verbe ressentir » a un complément d’objet direct que », mis pour la douleur » et celui-ci le précède. Le participe passé doit donc s’accorder avec lui et se mettre au féminin singulier. Faux. Il faut écrire Le garçon a rapidement ramassé la monnaie que j’avais laissée sur la table. Le complément d’objet direct que », mis pour la monnaie » est placé avant le participe passé il faut en tenir compte et mettre ce dernier au féminin singulier. Faux. Il faut écrire Il est bien temps de regretter les bêtises que tu as dites ! Le participe passé est précédé du complément d’objet direct que », mis pour les bêtises », féminin pluriel. Il doit donc s’accorder avec lui. Phrase correcte. Phrase correcte. Faux. Il faut écrire L’offre qu’a refusée notre correspondant était pourtant alléchante. Le verbe refuser » a pour complément d’objet direct qu’ », mis pour l’offre », féminin singulier. Comme ce COD le précède, le participe passé doit s’accorder avec lui. Faux. Il faut écrire La secrétaire que le patron a renvoyée a aussitôt retrouvé du travail. Qui le patron a-t-il renvoyé ? Que », mis pour la secrétaire », et ce complément d’objet direct est placé avant le participe il faut donc accorder ce dernier avec lui… Phrase correcte. Phrase correcte. Besoin de vous remettre à niveau en orthographe ?Testez gratuitement nos modules d’entraînement sur plus de 7 millions d’utilisateurs ! Auteurs Projet Voltaire Bruno Dewaele, champion du monde d’orthographe, professeur agrégé de lettres modernes Agnès Colomb, auteur-adaptateur, correctrice professionnellePascal Hostachy, cofondateur du Projet Voltaire et du Certificat Voltaire

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