Lepremier texte de Louis Aragon (1897-1982) mentionnant la forĂȘt de BrocĂ©liande est Ă©crit Ă  partir de 1923. Dans un essai datĂ© de 1930, Aragon condamne le merveilleux mĂ©diĂ©val. Pourtant, en 1942, en plein conflit mondial, il Ă©crit BrocĂ©liande, une Ɠuvre composĂ©e de sept poĂšmes, dans lesquels il invoque la forĂȘt merveilleuse et la fontaine de Bellenton pour XavierLesĂšche a grandi Ă  30 km de lĂ , dans la Zup de Rennes. En 1987, Ă©tudiant passionnĂ© d'archĂ©ologie, il devient objecteur de conscience Ă  l'Ă©comusĂ©e de la forĂȘt. C'est lĂ  que le conteur est « nĂ© » avec, dans sa besace, les lĂ©gendes arthuriennes et leurs chevaliers de la table ronde, les contes populaires et l'amour des bois LESFEES DE LA FORET Ă  VECOUX (88200) : Bilans, statuts, chiffre d'affaires, dirigeants, actionnaires, levĂ©es de fonds, annonces lĂ©gales, APE, NAF, TVA, RCS, SIREN, SIRET. API; Exports ; Surveillance . Alertes par email; Alertes par webhooks; Connexion; Mise Ă  jour INSEE : le 16/07/2022. LES FEES DE LA FORET 451 798 854. Adresse : 10 RUE DE LA - MinistĂšre de l’Éducation nationale et de la Jeunesse - Avril 2019 3 2 3 Progressions en allemand Retrouve Éduscol sur Classe de CE1 Ressources utiles Ă  la sĂ©quence : ‱ Plusieurs propositions de scripts ‱ Les illustrations du conte correspondant au texte ‱ MatĂ©riel Ă  prĂ©voir : des marottes ou marionnettes pour les personnages (der Esel, AdaptĂ©d'un best-seller rĂ©cent, « LĂ  oĂč chantent les Ă©crevisses » s'enlise dans son imagerie lisse et se noie dans ses dĂ©cors de marĂ©cages. Plouf ! Plouf ! RegarderLĂ  oĂč chantent les Ă©crevisses streaming VF gratuit sur notre site PapyStreaming. LĂ  oĂč chantent les Ă©crevisses 2022 Streaming complet et mZLYZj. Si vous recherchez la chanson Forest’s Menuet dans Lost Ark, vous devrez d’abord sauter quelques cerceaux. 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L’ordre correct des rĂ©ponses qui lui sont adressĂ©es est le suivant SifflerAttendreSiffler Ă  nouveau AprĂšs cela, la fĂ©e disparaĂźtra, “La forĂȘt oĂč les fĂ©es chantent” sera terminĂ©e et vous recevrez la prochaine quĂȘte de la chaĂźne, “Je t’entends”. En relation Liste des niveaux des classes PvP de Lost Ark – Les meilleurs personnages pour le PvP Le message Comment terminer la quĂȘte La forĂȘt oĂč les fĂ©es chantent» dans Lost Ark est apparu en premier sur .. Le Deal du moment Cartes PokĂ©mon Japon le display ... Voir le deal Horses of legend Accueil Archives Archive des histoires Ère des DĂ©mons Aller Ă  la fin de la page 2 participantsAuteurMessageAdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Le soir, les oiseaux chantent ... Ven 23 Avr 2010 - 229 Le ciel c'Ă©tait d'abord teintĂ© d'orangĂ©, puis il c'Ă©tait considĂ©rablement assombrit jusqu'Ă  ne plus ĂȘtre qu'un grand ruban noir parsemĂ© d'Ă©toiles. La tempĂ©rature, partout sur l'Ăźle sauf dans la forĂȘt tropicale des terres de la terre, avait diminuĂ©e de quelques degrĂ©s. Les petits animaux que l'ont croisait dans les forĂȘts avaient changĂ©s de nature. Ce n'Ă©tait plus de jolis oiseaux colorĂ©s et des lapins, mais des chouettes hululant et des gerboises effrayĂ©es. Le petit monde de la nuit avait prit sa place alors que les ĂȘtres diurnes Ă©taient allĂ©s rejoindre leur couche. MĂȘme ici, dans les terres de feu, l'atmosphĂšre avait changĂ©. Bien qu'il n'y ait pas d'animaux pour attester du rĂ©el changement, la tempĂ©rature qui baissait drastiquement Ă©tait un indicateur assez convainquant ... si on oubliait le fait qu'il faisait noir, bien Ă©tait lĂ . Sa belle robe acajou s'Ă©tait assombris avec le manque de lumiĂšre et semblait noire. Ses yeux pommes reflĂ©taient Ă  merveille la lueur des Ă©toiles, faisant briller ses deux points dans la nuit. La chaleur, encore forte comme celle d'une journĂ©e d'Ă©tĂ© bien chaude, la faisait frĂ©mir. Elle n,avait pas froid, bien sĂ»r, car sa peau Ă©tait habituĂ©e aux tempĂ©ratures plutĂŽt glaciales de l'ocĂ©an, mais le contraire absolu lui faisait un drĂŽle d'effet. Lors de ses nombreuses visites en ces terres, elle ne c'Ă©tait jamais approchĂ©e aussi prĂšs de la grotte, car ça fourmillait de Honoo lĂ -bas. Pas qu'elle ne les aimaient pas, seulement elle savait qu'ils n'Ă©taient pas toujours accueillants. Aujourd'hui, elle c'Ă©tait forcĂ©e Ă  aller plus loin, car elle avait soif de dĂ©couvrir le monde au complet .. mais son monde seulement, soit l'Ăźle de HL. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Ven 23 Avr 2010 - 1635 Une sensation de mouvement le tira de ses rĂȘveries. Son sommeil n'Ă©tant pas profond, il se rĂ©veillait facilement. Quand il ouvrit les yeux, il remarqua que la nuit Ă©tait dĂ©jĂ  lĂ . Ce n'est pas un gros dormeur non plus car il avait l'habitude de dormir seulement moins de 5 heures, ce qui suffisait amplement pour lui. Soudain, il entendit des pas, et redressa la tĂȘte pour mieux voir. L'apprenti remarqua une forme sombre Ă  quelques longueur de chevaux de lui. Il se dit que s'Ă©tait tout un autre qui n'arrivait pas Ă  trouver le sommeil. Il se recoucha un instant quand le doute trotta dans sa tĂȘte. Est-ce bien quelqu'un du clan ? AgacĂ© de s'ĂȘtre posĂ© la question, il fouetta de la queue, soulevant un peu de cendres de l'incendie. Il pensait Ă  "tueur" maintenant, ce cheval-dragon qui avait bien failli le tuer par son venin. il repensait au combat, se remettant en tĂȘte chaque mouvement de son corps et de celui de l'autre, chaque douleur et fiertĂ© qu'il avait reçu... chaque instant... chaque secondes ... il jeta un oeil Ă  sa blessure au garrot, et quand il vit la plante dĂ©passer de la plaie, il soupira de mĂ©contentement. Il allait devoir retirer l'antidote pour ne pas que ça le gĂȘne maintenant qu'il Ă©tait guĂ©ri du poison. Mais le problĂšme, c'est qu'elle Ă©tait au niveau du garrot. un endroit impossible Ă  toucher pour un Ara posa son regard vers la silhouette sombre.*et si j'allais lui demander de me la retirer ? aprĂšs, tout je n'aurais pas Ă  le rĂ©veiller... *Le mĂąle bai se leva, tant bien que mal. DĂšs qu'il fut debout, il sentit la chaleur quitter son corps, puis un frisson le parcourue. Quand il fit un pas, il ressentit aussitĂŽt une gĂȘne au niveau du garrot la plante Ă©tait toujours sur la plaie, collĂ© par le sang sĂ©chĂ©. Il resta immobile, rĂ©flĂ©chissant Ă  un autre moyen que de la retirer par quelqu'un d'autre. Il s'Ă©broua, secouant tout son corps mais la plante ne bougea pas d'un poil. Il n'essaya pas de la retirer avec ses dents puisqu'il savait que ça n'allait pas marcher. Regardant de nouveau la silhouette, il remarqua une bille verte pomme montrant ainsi la tĂȘte, il s'y interressa, se demandant de qui il pouvait s'agir pour avoir de tels yeux. Ara vit aussi la queue ressemblant fortement Ă  celle d'un cheval de mer. Soudain un lĂ©ger courant d'air, lui apporta une odeur particuliĂšre. Il avait reçu un nouvelle indice de l'inconnu c'Ă©tait une fois-ci il Ă©tait bien dĂ©cidĂ© Ă  lui demander son aide. Il esquissa un petit sourire. Il prĂ©fĂ©rait les juments. elles qui sont si dĂ©licates...*j'espĂšre qu'elle n'a pas mauvais caractĂšre ...* Il marcha le plus discrĂštement possible. Tellement discret, qu'il entendait Ă  peine ses pas, telle un fĂ©lin Ă  l'affĂ»t de sa proie. Il allait dans le sens inverse de l'inconnue. Une fois derriĂšre elle Ă  quelques longueurs de lĂ , il croisa ses traces, et les suivit jusqu'Ă  l'inconnue dans le noir de la nuit,puis quand il arriva non loin de la jument, il ronfla des naseaux, suffisament fort pour qu'elle l'enttend. _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + AlisterDerniĂšre Ă©dition par Ara le Mar 27 Avr 2010 - 2222, Ă©ditĂ© 2 fois AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 329 DĂ©solĂ©e pour le premier post de trĂšs mauvaise qualitĂ© que j'ai postĂ©e .. j'Ă©tait pressĂ©e xDSes idĂ©es s'entremĂȘlaient. Alors qu'elle s'avançait silencieusement vers le seul lieu qu'elle n'avait jamais foulĂ©, elle repensait Ă  son passĂ©. Les lueurs d'espoirs qui avaient comblĂ©es ses journĂ©es alors qu'elle se dĂ©couvrait une libertĂ© nouvelle prĂ©dominaient dans ses songes, mais le vague souvenir de la disparition de son pĂšre et de l'emprisonnement par sa mĂšre laissaient une trace plus sanglante que prĂ©vue dans ses Ă©motions. Chaque fois qu'elle repensait Ă  la dĂ©sertion de son gĂ©niteur, car il ne mĂ©ritait plus d'ĂȘtre appelĂ© son pĂšre, une dĂ©ception puissante mĂ©langĂ©e d'une tristesse sourde crĂ©aient un vide dans son coeur. Puis quand elle repensait Ă  sa mĂšre, elle voyait immĂ©diatement la vallĂ©e dans la montagne oĂč elle avait Ă©tĂ© confinĂ©e durant tout son enfance et ça lui donnait de puissants haut-le-coeur. En clair, elle se considĂ©rait seule au monde et belle aquatique s'arrĂȘta un moment. Elle avait sentit quelque chose .. une odeur fugace, qui n'avait durĂ©e qu'un instant. Elle redressa les oreilles, Ă  l'affut de bruits suspects, et scruta la nuit de ses deux billes pommes. Lys eut Ă  peine le temps de comprendre qu'elle courrait peut-ĂȘtre un danger qu'un ronflement se fit entendre ... derriĂšre elle. Vivement, elle se retourna pour faire face Ă  l'inconnu, fouettant l'air de sa nageoire caudale. Le courant d'air que cela crĂ©a souleva une bonne quantitĂ© de cendres, l'empĂȘchant au premier coup d'oeil de voir l'autre cheval. Qui Ă©tait-ce ? De quel clan Ă©tait-il ? Quelles Ă©taient ses intentions ?Lorsque la nuit fut redevenue plus limpide, et que la baie pu enfin distinguer son interlocuteur, elle hoqueta silencieusement. Devant elle se tenait une licorne. Son odeur, maintenant en pleine puissance dans ses naseaux, le classait immĂ©diatement dans les Honoo, et la vague trace cuivrĂ©e indiquait la prĂ©sence de sang. Elle frĂ©mit. Frisson de peur ? Non. Elle aimait un peu trop les durs de dur, les gros mĂ©chants, les Honoo. Car ils Ă©taient le contraire parfait des Kuuki. Elle Ă©tait excitĂ©e Ă  l'idĂ©e d,enfin rencontrer un de ces monstres sanguinaires ... Certes, elle savait qu'ils n'Ă©taient pas tous pareil, que certains n'Ă©taient pas vraiment mĂ©chant ... mais bon, on peut toujours rĂȘver. Elle prit donc une posture neutre, son regard ouvert et doux habituel se posant dans les yeux du mĂąle. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 1401 t'inquiĂšte, c'est pas grave ce n'est pas vraiment le plus important La licorne remarqua une autre odeur qu'il ne connaissait pas. Ara cligna des yeux et engagea la regardant d'un air perplexe l'inconnue il ajouta -Toi, tu n'es pas de mon clan ça c'est sĂ»r, et tu n'es pas sourde aussi. Au moins, ça m'a Ă©vitĂ© de devoir m'approcher d'avantage de toi, ce qui risquait fortement de t'effrayer...Ara la regardait d'un air posĂ©, et calme. Il ne ressentait pas de peur chez elle. Un lĂ©ger sourire se dessina. Il s'approcha tranquillement de la jument jusqu'Ă  ĂȘtre Ă  quelques centimĂštres d'elle. Il posa son regard interressĂ© sur ses yeux vert pomme puis l'examina de la tĂȘte au pied. Ara cherchait vite fait dans sa tĂȘte si il avait dĂ©jĂ  vu un cheval de mer. Tant de choses c'Ă©tait passĂ© entre sa naissance et ici ... des choses si sombres et si lumineuses Ă  la fois... qu'il abandonna trĂšs vite sa recherche, en repensant Ă  son passĂ©. Soudain, rĂ©atĂ©rissant pied sur terre, il remarqua qu'il Ă©tait toujours dans la petite lande, raremant dĂ©serte. Il jeta un oeil autour de lui, et seulement quand il fut certain qu'il n'y avait que eux deux, il continua -bon... Ă  la base c'Ă©tait pas pour te faire dĂ©guerpir que je suis venu vers toi. Mais je voulais savoir si tu pouvais me retirer ce truc affreux et gĂȘnant sur mon garrot... ne fais pas trop attention si j'ai mal ou pas... j'ai l'habitude Ă  force de me ramasser des coup et des morsures ... Ara pointa du regard la plante incrustĂ©e dans la plaie. Puis, il reposa ses yeux d'un regard doux dans ceux de la jument. Il ne voulais pas lui faire peur. Il voulais simplement la connaĂźtre mais au fond de son coeur, murmurait une vague qui l'incitait Ă  se coller Ă  la jument. Bien qu'il soit ferme avec lui mĂȘme, il rĂ©sista Ă  la tentation. _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 2024 La premiĂšre Ă©motion qui l'envahit aux paroles de l'inconnu fut la surprise. Il n'Ă©tait pas du tout comme les rares Honoo qu'elle avait dĂ©jĂ  rencontrĂ©s. Il Ă©tait mĂȘme plutĂŽt bavard, et ça fit remonter une vague envie de partir au galop trĂšs loin de cette licorne. Lys dĂ» se faire violence pour rester immobile et le laisser finir de parler. AprĂšs tout, c'Ă©tait un Honoo, alors il devait surement avoir quelque chose d'important Ă  lui dire pour parler autant en si peu de temps. Et en effet, il se rĂ©vĂ©la qu'il avait besoin de son aide pour retirer quelque chose de sur son garrot. La jument marine posa son regard sur l'endroit en question et dĂ©couvrit la source de l'odeur cuivrĂ© de plutĂŽt. Il avait bel et bien Ă©tĂ© blessĂ©. Elle sourit vaguement en coin. Visiblement, il ou quelqu'un avait utilisĂ© un remĂšde florale pour aider Ă  la guĂ©rison. Elle ronfla des naseaux. Elle Ă©tait une jument trĂšs fiĂšre, et cette demande spĂ©cial flattait son Ă©go ... bon, elle ne se prenait pas la tĂȘte pour autant hein !-J' mot seul dĂ©montrait une puissance, une fiertĂ© et un aura de mystĂšre. Last Kiss Ă©tait une beautĂ© de la lune, une belle mystĂ©rieuse. Elle s'avança, ne craignant pas un instant la corne effilĂ© du mĂąle. Elle attrapa la plante avec ses dents et tira brusquement dessus, question de ne pas le martyriser longtemps. Et alors qu'elle retirait les petits morceaux qu'y n'avaient pas suivis, elle reprit la parole de cette mĂȘme voix douce, mais teintĂ©e d'un quelque chose qui vous imposait le passant, je suis Last Kiss, Mizu par choix. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 2048 Lorsqu'elle lui retira la plante, il sentit un violent spame de douleur mais il s'en moquait car il n'Ă©tait interressĂ© que par la jument. -merci. Alors c'est ça l'odeur des mizus ... bon bah je me coucherais avec une odeur en plus dans la tĂȘte maintenant !Puis il s'arrĂȘta un moment, remarquant qu'il ne s'Ă©tait pas Ara. C'est ainsi que je me nomme. Tu n'es pas un peu loin de chez toi par hasard ? c'est pas conseillĂ© d'ĂȘtre ici. surtout pour quelqu'un comme toi qui vient d'un autre clan que celui des esquissa un petit sourire lui donnant un air sadique. Observant le flanc de Lys, il ne put se retenir de le frĂŽler avec ses naseaux. Il pouvait enfin goĂ»ter Ă  la chaleur de son corps, mais juste une lichette. ça lui suffisait pour l' Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 2201 Elle termina son travail avec un sentiment de satisfaction. Elle avait touchĂ© un Honoo. Pour elle, c'Ă©tait l'exploit de sa vie, excluant son tour du "monde". Elle avait Ă©coutĂ© les babillages de la licorne et le trouvait dĂ©finitivement trop bavard .. mais cette fois au moins, il faisait davantage preuve de mĂ©chancetĂ©, bien que celle-ci fut trĂšs bien cachĂ©e et Ă  peine prĂ©sente. Elle allait reculer et reprendre sa place initiale quand le dĂ©nommĂ© Ara posa ses naseaux et sa langue sur son flanc. Un vent de rĂ©volte de leva alors en elle. De quel droit ce pur inconnu, Honoo ou pas, la touchait ainsi sans sa permission ? Puis, la tempĂȘte se calma aussi vite qu'elle c'Ă©tait levĂ©e. Lys Ă©tait profondĂ©ment douce, une jument ouverte et aimante. Alors elle Ă©mit comme hypothĂšse qu'il voulait seulement la remercier et que mĂȘme les enfants du feu Ă©taient capables de gentillesses parfois. Elle souffla donc dans l'air ambiante et retourna face au mĂąle, sa longue queue reptilienne serpentant derriĂšre suis libre d'aller oĂč ça me plais. Et Ă  ma connaissance, il n'y a pas de guerre qui oppose les Honoo aux Mizu, alors j'ai le droit d'entrer vent chaud vint caresser la plaine autour d'eux. Certains Honoo se rĂ©veillaient, la nuit touchait dĂ©jĂ  Ă  sa fin. Il restait encore quelques heures Ă  la belle baie avant de devoir quitter la lande. Car la chaleur qui rĂ©gnait ici le jour Ă©tait trop intense pour elle, n'y Ă©tant pas habituĂ©e. Elle sourit vaguement en coin. Cette escapade nocturne Ă  la grotte n'avait pas Ă©tĂ© vaine finalement. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Dim 25 Avr 2010 - 2225 Ara ne fut pas surpris d'entendre ces paroles. Quelqu'un qui est solitaire et qui explore tout les coins du monde, ça rĂ©veil forcement un vent de libertĂ©, se croyant hors d'atteinte et intouchable. Mais Ara savait trĂšs bien qu'il y avait toujours une frontiĂšre. Il le savait car il en avait fait l'expĂ©rience, dont rĂ©sultat Ă©tait un peu dĂ©cevant quand il s'Ă©tait aperçu un peu plus tard, qu'il y avait encore un autre frontiĂšre et ainsi de suite. Pour lui les vents des libertĂ© ne lui Ă©tait pas inconnu. Satisfait de la rĂ©action de Lys, il la regarda droit dans les yeux. Ara avait pensĂ© recevoir un coup de sabot de sa part mais Ă  sa grande surprise, il n'avait vu aucune rĂ©action vive de la part de la jument. C'Ă©tait dans ces habitudes de les taquiner ainsi, ça l'amusait beaucoup, et c'Ă©tait l'une des rare fois qu'une jument se laisser regard amusĂ© brillait dans ces yeux. Repenssant encore aux paroles de la jument de mer, Il apprĂ©ciait bien, ceux qui veulent ĂȘtre, que maĂźtre d'eux-mĂȘme, partant Ă  l'aventure... Se sentant Ă  l'aise Ă  cĂŽtĂ© d'elle, il Ă©tait tentĂ© de continuer Ă  la "taquiner". Alors il se risqua de lui titiller la croupe du bout de ses lĂšvres seulement. Il pensait bien recevoir une raclĂ©e de la part de Lys mais il s'en fichait totalement. Il voulais juste s'amuser avec elle, juste histoire de voir sa rĂ©action. Surtout qu'elle parraissait fiĂšre d'elle, du coup, ça le tentait encore plus ! _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Mar 27 Avr 2010 - 157 L'air de rĂ©chauffait en suivant une courbe exponentielle. Bien vite, les branchies de Lys s'ouvrirent pour laisser entrer et sortir plus d'air, favorisant ainsi le refroidissement de son corps. Comment faisaient-ils pour vivre dans une telle chaleur ? Durant tous ces voyages dans les terres de feu, elle y Ă©tait allĂ©e la nuit, lorsque la tempĂ©rature Ă©tait au plus bas ... sinon elle se rĂ©fugiait sous les ailes du gĂ©ant. Elle Ă©tait perdue dans ses pensĂ©es, s'enfonçant de plus en plus loin en suivant des liens incongrus. Elle y Ă©tait bien, dans sa bulle. Mais celle-ci Ă©clata violemment lorsque Ara posa ses babines sur sa croupe. Encore ? La belle des mers n'Ă©tait pas violente, elle dĂ©plorait cette technique, mĂȘme si elle avait un petit cĂŽtĂ© contradictoire qui la poussait Ă  aimer ceux qui savaient se dĂ©fendre. Elle n'allait alors quand mĂȘme pas la frapper ou le mordre. Elle choisit donc une mĂ©thode plus douce. Agitant sa longue queue, elle crĂ©a un courant d'air puissant qui vint fouetter les flancs de la licorne de feu, dans un geste agacĂ©, puis elle se dĂ©plaça d'abord sur le cĂŽtĂ©, puis elle marcha quelques pas vers un rocher. Mais la jeune Mizu n'Ă©tait pas dĂ©pourvue de moyen de dĂ©fense. AprĂšs tout, elle avait son petit secret Ă  elle qui pourrait bien lui ĂȘtre utile si ce Honoo ne la laissait pas tranquille. Pas qu'elle n'Ă©tait pas sociable, mais il y avait des limites aux familiaritĂ©s permises. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Mar 27 Avr 2010 - 1322 Il Ă©tait un peu dans ses pensĂ©es lorsqu'il sentit le courant d'air le faire frissonner. L'apprenti s'Ă©carta par rĂ©flexe. Il n'Ă©tait pas habituĂ© Ă  taquiner une jument aussi douce. le mĂąle bai, la laissa s'Ă©loigner de lui. Le soleil n'Ă©tait mĂȘme pas encore levĂ© mais on voyait suffisament bien pour se distinguer. et Ara pouvais sentir la chaleur du jour arriver. Immobile, il ferma les yeux pour mieux la savourait. Quand il les ouvrit, il remarqua enfin la vraie couleur de la jument des mers. Il n'en avait jamais vu d'aussi belle. Ara allait la suivre quand une idĂ©e lui traversa l'esprit. Il esquissa un lĂ©ger sourire, puis il lui tourna carrĂ©ment le dos pour aller autre part, Ă  la recherche d'occupation, comme si il ignorais la jument Ă  la robe extraordinaire. Une petite bourrasque de vent souleva la cendre de l'incendie d'hier, crĂ©ant ainsi un gros nuage. On y voyait juste la forme sombre d'Ara. Soudain, une lueur rougeatre apparut sur sa corne et une lape de gaz incandescent, sortait d'elle en colone. Le gaz n'Ă©tait toujours pas enflammĂ©. La licorne scruttait l'horizon. Il avait besoin de se nourrir par le feu, car mĂȘme aprĂšs un long somme, il n'avait pas suffisament rĂ©cupĂ©rĂ© de son combat avec tueur. RepĂ©rant un arbre mort non loin de la jument, il dirigea la petite lape de gaz jusqu'au tronc. Une fois arrivĂ© au pied de l'arbre, il l'enflamma sans se soucier de Lys qui Ă©tait Ă  quelques longueur de l'arbre. Puis il s'approcha tranquillement du foyer, et planta sa corne dans le tronc enflammĂ©. Il ferma les yeux pour mieux ce concentrer sur l'Ă©nergie du feu. Ainsi, les flammes se faisaient aspirer par la corne en tournant autour d'elle. Il ne lui restait que quelques minutes Ă  restait comme ceci. AprĂšs, il pourra faire ce qu'il voudra, sans devoir se soucier de sa vitalitĂ©. _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + AlisterDerniĂšre Ă©dition par Ara le Mer 28 Avr 2010 - 1633, Ă©ditĂ© 2 fois AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Mer 28 Avr 2010 - 125 C'est pas encore le jour sinon Lys pourrait pas rester lĂ Les Ă©toiles commençaient Ă  disparaitre dans le ciel .. bientĂŽt l'horizon se colorerait de rose et d'orange. De rares oiseaux commençaient Ă  survoler la zone, pour le peu de temps qu'ils avaient Ă  pouvoir supporter la chaleur du lieu. La vie reprenait lĂ  oĂč elle s'Ă©tait arrĂȘtĂ©e la veille au soir. Tranquillement, les chevaux du clan Honoo s'Ă©veillaient et quittaient la lande et la grotte pour partir Ă  la recherche de proies ou d'herbe comestible. La plupart la dĂ©visageait, l'air de dire "qu'est-ce qu'elle fait lĂ  elle ?". Les autres la regardaient aussi mais d'une façon dĂ©sintĂ©ressĂ©. Last Kiss allait dĂ©cider de partir, trouvant la chaleur de plus en plus insoutenable, lorsqu'elle fut envahie d'une peur soudaine. Une fumĂ©e semi-transparente lĂ©chait le sol. Elle semblait se diriger prĂ©cisĂ©ment vers l'arbre le plus prĂšs d'elle. À peine eut-elle le temps de faire un bond de cĂŽtĂ© que celui-ci s'enflamma brusquement. La jument des mers posa ses yeux pommes effrayĂ©s sur l'arbre et flamme. Elle vit Ara s'en approcher et aspirer les flammes par sa corne. Elle ne dit rien. Elle Ă©tait paralysĂ©e de stupeur. Comment une telle chose se pouvait-elle ? Il semblait ... se nourrir du feu ? Était-ce lui qui avait provoquĂ© l'incendie ? AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Mer 28 Avr 2010 - 1648 En mĂȘme temps qu'il inspirait, des Ă©tincelles sintillaient autour de la corne. Les yeux fermĂ©s, il ne pensait qu'Ă  la chaleur du feu. Ceci l'appaisait. Les autres Honoos qui passaient non loin de lui, jetaient un regard curieux, oĂč soit du genre "toi tu sens la bĂȘtise !" oĂč alors, aucun regard. Les flammes diminuĂšrent de volume jusqu'Ă  s'Ă©teindre sur la corne d'Ara. Ce dernier la retira du tronc en braise. Son regard de tout Ă  fait neutre fixait la jument pĂ©trifiĂ© de stupeur. Il passa Ă  cĂŽtĂ© d'elle, l'encolure arquĂ©, les yeux rivĂ©s le sol, et donna un coup de queue en plein dans la tĂȘte de la jument. Ara ricanait sans se retenir en continuant son chemin. Il adore se moquer des gens. Surtout ceux qui sont fiĂšre ! Au moins, c'Ă©tait signe qu'il Ă©tait de bonne humeur. Et c'Ă©tait plutĂŽt rare aprĂšs une dĂ©faite. Mais la venu de Lys, lui avait un peu remonter le morale. Satisfait de son geste, il pensait au moment oĂč ils Ă©taient cĂŽte Ă  cĂŽte quand il lui avait fait une lĂ©chouille amicale ... _________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + AlisterDerniĂšre Ă©dition par Ara le Dim 2 Mai 2010 - 052, Ă©ditĂ© 2 fois AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Jeu 29 Avr 2010 - 100 Lys se secoua de tout son long, sortant de sa stupeur juste pour recevoir une queue en plein visage. Une chance que ce n'Ă©tait que des crins, et non une queue de reptile comme la sienne. Mais quand mĂȘme, ce fut un geste de trop. Ou peut-ĂȘtre qu'en fait, se fut le geste dĂ©cisif ? Qui sait ... L'horizon commençait justement Ă  se teinter des couleurs de l'aube et une bourrasque brulante vint caresser son encolure, dĂ©nudĂ©e de crins Ă  faire voler, et soulever sa tresse de perle. Immobile, la jument des mers semblait pĂ©trifiĂ©e par une quelconque terreur ou un quelconque sortilĂšge. Mais en fait, elle Ă©tait plongĂ©e dans une rĂ©flexion intense Ă  savoir si elle devait se servir de son pouvoir pour lui donner une leçon de savoir-vivre, pour le remettre Ă  sa place, ou si elle ne devait que partir. Son cĂŽtĂ© "anti-violence" lui criait de partir, de galoper rejoindre la mer pour aller prendre du sommeil sur l'Ăźle avant de retourner se balader dans les terres moins chaudes. Mais son cĂŽtĂ© rebelle, celui qui aimait les gros durs, la poussait Ă  attaquer ... Puis elle se rappela les circonstances de leur rencontre .. la plante .. la plaie .. elle imagina la bataille. La belle mystĂ©rieuse ne pouvait tout simplement pas jouer avec ses Ă©motions, et c'est le cas de le dire, aprĂšs se qu'il venait de vivre. Elle n'Ă©tait pas une Honoo, elle n'avait pas Ă  le tester ... Alors elle dĂ©cida simplement de partir, un point c'est tout. Mais elle pouvait bien s'amuser un peu avant non ?Se remettant en mouvement, la jument commença par faire quelques pas. Elle ressemblait Ă  une statut d'Ă©tain qui se dĂ©lie les jambes aprĂšs des siĂšcles sans bouger. Doucement, elle humait l'air avec le soucis d'imprĂ©gner l'odeur de l'endroit profondĂ©ment dans sa mĂ©moire. Puis elle baissa sa tĂȘte, toucha le sol de ses naseaux, et le glissa sur le sol, au travers des cendres, alors qu'elle continuait Ă  avancer. Puis, comme dans une scĂšne de film au ralentit, la Mizu releva la tĂȘte fiĂšrement et partit dans un galop rassemblĂ© et magnifique, sa queue ondulant derriĂšre elle tel les vagues de la mer en colĂšre. Elle passa prĂšs d'Ara et, sans y penser rĂ©ellement, lui administra un coup de queue sur la croupe ... au mĂȘme moment, toujours comme dans un ralentit, elle releva Ă  peine la tĂȘte de son rassemblĂ©, posant ses yeux pommes, illuminĂ©s par le premier rayon de soleil de la journĂ©e, sur la licorne de feu. Un lĂ©ger sourire, qu'on pourrait dĂ©crire comme narquois, fier ou simplement mystĂ©rieux, se dessina sur ses fines lĂšvres alors qu'elle le dĂ©passait, toujours dans ce galop magnifique avec le soleil naissant faisant briller sa raie d'Ă©cailles. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Jeu 29 Avr 2010 - 1319 La tĂȘte Ă  hauteur de croupe, toujours au pas, Ara fixait le sol jonchĂ© de caillasse et de cendre lui rapellant son passĂ©. Ses rires s'Ă©taient Ă©vanoui laissant la place Ă  se qu'il imaginait. C'Ă©tait dans un noir total. Puis un immense incendie. Le sol ressemblait un peu Ă  celui de la petite lande Ă  la seule diffĂ©rences, Ă  la place place des cailloux c'Ă©tait des bouts de bois calcinĂ©s. Il voyait le feu dĂ©vorant de rage et de haine, le regard apeurĂ©, cherchant la sortie de l'enfer. La licorne se remĂ©mora la scĂšne et la douleur Ă  la nuque qu'il avait senti il y a de cela bien longtemps... trop longtemps pour se souvenir exactement ce qu'il s'Ă©tait passĂ©. Il ferma les yeux pour tenter de refermer la porte de se passĂ© sĂ©vĂšrement sombre et douloureux, mais ça ne marchat pas. Le cri stridant de douleur de sa mĂšre lui renvint aux oreilles. Il en Ă©tait Ă  lĂ  quand il reçu un coup sur la croupe. Il sursauta de surprise. ça l'avait remis sur le sol du prĂ©sent. Ara dĂ©visagea Lys avec un air perplexe. Sur sa tĂȘte redressĂ©, l'une de ses oreilles Ă©tait lĂ©gĂšrement baissĂ© par apport Ă  l'autre, et ses yeux reflettaient de la surprise totale. Il resta immobile quelques secondes, tout observant la jument pris dans ses foulĂ©es rassemblĂ©es. Le coup de queue qu'il lui avait flanquĂ©. En y pensant, il la rejoignit au trot, secouant sa tĂȘte et son encolure dans tout les sens, ronflant des naseaux, la criniĂšre dansant sur son encolure. Il ne voulais pas qu'elle parte, ça lui faisait un peu de compagnie, surtout qu'il ne pouvais pas aller plus loin que la petite lande car il Ă©tait encore apprenti. De plus, il avait rĂ©ouvert la porte de son passĂ© entre temps, sans vraiment le vouloir, et ça lui avait brisĂ© le hennit doucement pour appeller la jument. Quand il arriva Ă  sa hauteur, il posa son regard doux sur ...Son regard reflettait une lueur de supplice, il ne supporter pas rester coincĂ© dans endroit aussi petit. Sa gorge se serra, comme si une boule Ă©tait restĂ©e coincĂ© dedans, lui faisant monter des larmes. Celles-ci ne coulĂšrent pas. Ara n'Ă©tait pas du genre Ă  pleurer, ni Ă  supplier d'ailleurs. Ni Ă  baisser la tĂȘte, Ă  abandonner face au problĂšme de la vie. Il avait une volontĂ© de fer, et ne se laissait jamais abattre par le chagrin. C'est un solitaire qui a besoin de solitude ou de monde que lorsqu'il en a besoin. Seul, dans une cage invisible, tenaillĂ© par des chaĂźnes imaginaires, il ne pouvait supporter. La seule chose qu'il dĂ©sirait Ă©tait une douce caresse . La derniĂšre qu'il avait eu remontait Ă  trop longtemps, l'obligeant Ă  ouvrir la porte de son passĂ© pour s'en Erynn & AltaĂŻr + Okazir + AlisterDerniĂšre Ă©dition par Ara le Dim 2 Mai 2010 - 106, Ă©ditĂ© 1 fois AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Sam 1 Mai 2010 - 023 Ses foulĂ©s c'Ă©taient Ă©tendues, elle galopait avec le vent. TrĂšs loin devant elle, une ligne bleue lui indiquait son domaine. L'ocĂ©an. Elle se voyait dĂ©jĂ  sauter sans peur d'un haut de la falaise pour aller plonger dans l'eau salĂ©e en contre-bas. Elle galopait librement, comme seul les vagues peuvent le faire. Sa queue, Ă  dĂ©faut d'avoir des crins, claquait dans l'air comme les voiles des bateaux bipĂšdes. Ses Ă©cailles brillait dans le soleil qui montait de plus en plus rapidement Ă  l'horizon. Elle semblait partie pour toujours, partie pour ne pas revenir, partie pour ne pas s'arrĂȘter. Ce genre de course folle, elle en avait eu dans sa vallĂ©e natale. Mais la diffĂ©rence avec l'instant prĂ©sent Ă©tait la certitude qu'elle ne devrait pas s'arrĂȘter aprĂšs un kilomĂštre. Elle Ă©tait libre d,aller oĂč bon lui semblait, et personne ne pouvait lui mettre des chaines aux hennissement freina son Ă©lan. DĂ©stabilisĂ©e, elle ralentit l'allure et Ă©tendit son encolure, regardant derriĂšre elle. Ara. Il arrivait au trot. Il la rejoignit assez facilement. Son attitude Ă©tait si ... imprĂ©visible. Un moment il Ă©tait trop gentil et bavard, l'autre d'aprĂšs il jouait le mĂ©chant indiffĂ©rent, et maintenant il la suppliait presque de ne pas partir. Était-il dĂ©sespĂ©rĂ© au point d'oublier qu'elle ne pouvait pas supporter la chaleur naissante du jour ? C'est vrai .. ce n'Ă©tait encore qu'un apprentis. Elle soupira et secoua sa tĂȘte fine, comme pour lui faire signe que non. Alors qu'elle allait ouvrir ses lĂšvres pour lui rĂ©pondre, un de ses sabots buta contre une roche volcanique. Son corps Ă©tant entrainĂ© vers l'avant dans une idĂ©e de poursuite de son mouvement, elle amorça un mouvement de chute. Dans un instinct de survie, elle replia sa tĂȘte contre son poitrail et ses antĂ©rieurs contre son ventre. Elle plongea, son encolure contacta le sol, ses Ă©cailles glissĂšrent sur le sol noir et son dos vint s'Ă©craser au sol dans un son mat et un couinement de douleur. Autour d'elle gravitait un nuage de poussiĂšre volcanique. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Sam 1 Mai 2010 - 1223 Quand il vit Lys tomber il eu un mouvement d'accĂ©lĂ©ration, passant au galop. Il la rejoignit dans le nuage de poussiĂšre que la chute avait levĂ©. Son regard Ă©tait pris de surprise, et ses oreilles s'Ă©taient redressĂ©es. Quand il arriva Ă  cĂŽtĂ© de la jument, il baissa la tĂȘte pour toucher ses naseaux contre les siens. Un sourire doux se dessina sur sa prochaine fois que tu viens ici tu t'arrĂȘteras pour regarder derriĂšre avait tout Ă  fait raison car le terrain Ă©tait jonchĂ© de de caillasse volcanique suffisament grosse pour se tordre une patte ou tomber. Ici, il Ă©tait conseillĂ© de regarder oĂč on met les pieds. Il donna un petit coup de nez sur l'encolure de la jument pour l'inciter Ă  se debout ! tu as du courage ? Alors ton Ă©tait encourageant, et calme. Le jeune bai ne pris pas la peine de vĂ©rifier si elle s'Ă©tait blessĂ©. Ara ne s'occupait pas de soigner les autres. D'autant plus qu'il se comportais souvent comme un lĂąche. Et pourtant, il resta prĂšs de la jument. Il l'apprĂ©ciait car il la trouvait particuliĂšrement douce. De plus, sa compagni ne le dĂ©rangeait pas du tout, et bien au contraire, ça l'arrangeait totalement. La licorne se surpris de se trouver heureux, du fait qu'elle ne soit pas parti. Mais il aurais prĂ©fĂ©rĂ© qu'elle s'arrĂȘte de sa propre volontĂ©. Quittant ses pensĂ©es, il remarqua que la jument de mer Ă©tait un peu affaibli par la chaleur. DĂ©cu qu'elle ne soit pas rĂ©sistante Ă  la tempĂ©rature habituel de ce coin, il se plaça de façon Ă  lui faire le plus d'ombre possible. C'Ă©tait la seule chose qu'il pouvait faire pour la rafraichir un peu. Il n'y avait pas de cours d'eau ici. et les cĂŽtes Ă©taient trop loin. Il sentait sa colĂšre lui monter aux oreilles. Ara n'apprĂ©ciait pas ĂȘtre coincĂ©. Surtout quand il ne pouvait pas atteindre lĂ  oĂč il voulait allez. Les oreilles couchĂ©es, le regard noir fixant un caillou, il frappa le sol avec son sabot soulevant un peut de Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister AdminAdminNombre de messages 818Age 29Date d'inscription 15/01/2007Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Sam 1 Mai 2010 - 1719 Son dos Ă©lançait. Elle soufflait fort, effrayĂ©e plus que blessĂ©e. Au travers de la cendre volcanique qui retombait lentement, la tĂȘte et l'avant-main d'Ara apparurent. Elle roula sur le cĂŽtĂ© et releva sa tĂȘte pour le regarder un moment. Il posa ses naseaux contre les siens ... et recula machinalement sa tĂȘte pour rompre le contact. Elle ne voulait pas. Il n'y avait pas lieu d'y avoir de tels tendresses entre eux alors qu'ils se connaissaient Ă  peine. Elle allait le chasser, lui rĂ©pliquer qu'il n'avait pas le droit de s'attacher ainsi Ă  elle. Mais il l'encouragea Ă  se relever. La belle des mers soupira. Elle jeta un coup d'oeil Ă  son antĂ©rieur qui avait heurtĂ© la pierre. Un mince filet de sang coulait le long de son canon, suintant d'une coupure fine au niveau du genou. Elle plia et dĂ©plia le membre, pour s'assurer que ses muscles Ă©taient en bon Ă©tat. Oui, tout fonctionnait pour le mieux. La baie se releva d'un bon. Une douleur la prit de cours, lui coupant le souffle. Son dos la faisait souffrir. Lys se força Ă  tourner sa tĂȘte pour vĂ©rifier si elle n'Ă©tait pas blessĂ©e. Tout allait bien vu de l'extĂ©rieur. Mais il serait bien de rentrer Ă  la maison pour aller se dĂ©lier les muscles dans l'eau salĂ©e. De plus, la chaleur la faisait maintenant transpirer Ă  grosses gouttes, malgrĂ© la pauvre tentative de la licorne de lui faire de l' ... je pars maintenant. Et n'essaie pas de me voix c'Ă©tait faite hypnotique, comme si elle cherchait Ă  lui imposer sa volontĂ©. En effet, elle avait manipulĂ© ses sentiments pour qu'il ressente le besoin de la laisser partir. Elle lui caressa l'encolure de sa nageoire au bout de sa queue, puis elle reprit son chemin au pas. Chaque fois qu'elle touchait le sol, un peu de la douleur de son dos disparaissait. Ainsi, au bout de quelques mĂštres, elle put prendre un galop lent mais magnifique. C'est ainsi qu'elle s'Ă©loigna de la lande et des terres de feu, laissant derriĂšre elle un sillage de lumiĂšre qui se reflĂ©tait sur ses Ă©cailles. AraAdmin tout feu tout flammeNombre de messages 7347Age 27Date d'inscription 09/04/2010PersonnagesPersonnage principal AraPersos libres pour rp Juments pleines Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Sam 1 Mai 2010 - 1746 Ara la laissa s'en aller. savourant le caresse de la belle des mers. Des secondes s'Ă©croulĂšrent, toujours immobile, le regard pensif. Il n'y avait pas un vent. Rien. Personne en vu. malgrĂ© le dernier geste de la jument, il sentait qu'il allait exploser de rage. Soudain, il se cabra brutalement en donnant un ample coup de corne dans le vide, poussant un hennissement de colĂšre. Ses yeux Ă©taient de couleur braise, le gaz qui sortait de sa corne montaient brutalement vers le haut en tourbillon. Ara frappa le sol de ses antĂ©rieurs et au mĂȘme moment, la colonne de gaz s'enflamma autour de lui. Sa colĂšre l'enflamma complĂštement. Il ressemblait maintenant Ă  une boule de feu. Ara resta immobile pendant quelques minutes pour se calmer. petit Ă  petit, les flammes et la colonne diminuĂšrent de volumes et tĂȘte Ă  hauteur de croupe, il marcha lentement Ă  la quĂȘte de victime. Son regard semblait neutre. ou plutĂŽt vide. Pour le moment seulement. Il voulait Ă  tout pris sortir de la cage invisible. Il ne savait pas trop par oĂč commencer, mais quand il pensa Ă  tueur, ou plutĂŽt aux paroles du cheval-dragon, il su aussitĂŽt quel chemin prendre pour briser les limites. Le dominant. Il avait pensĂ© Ă  le rencontrer pour briser les chaĂźnes et la cage invisible. Si il trouverait un autre moyen, il changerais d' s'en alla au galop, pour inspecter tout les coins du du topic_________________+ Erynn & AltaĂŻr + Okazir + Alister Contenu sponsorisĂ©Sujet Re Le soir, les oiseaux chantent ... Retourner au dĂ©but de la page Page 1 sur 1Horses of legend Accueil Archives Archive des histoires Ère des DĂ©monsSauter vers ♫ Dans la forĂȘt lointaine, on entend le coucou, du haut de son grand chĂȘne il rĂ©pond au hibou. ♫ Dis ça te branche de dormir dans une cabane dans les arbres le weekend prochain ? On pourra boubouler toute la nuit en amoureux ! Car la chouette ulule et le hibou bouboule ! JeMeCoucheraiMoinsBĂȘteAu paradis des cabanes dans les arbresLors d’un beau weekend ensoleillĂ©, on emmĂšne son dans le Perche d’Eure-et-Loir pour un sĂ©jour romantique Ă  souhaits ! Embarquement immĂ©diat vers les Cabanes du Bois Landry, de magnifiques cahutes perchĂ©es au beau milieu des bois. Un accueil des plus envoĂ»tants vous attend par Bertrand, le maĂźtre des lieux. Au petit matin les oiseaux de la forĂȘt chantent, les biches et daims traversent le domaine, et un petit dĂ©jeuner local vous est servi dans un panier. Le calme de la nature, une musique tellement apaisante !Une adresse Ă©picurienne Ă  ne pas manquerNon loin de lĂ , Ă  Thiron-Gardais, une pĂ©pite Ă©picurienne vous attend Ă  la suite de cette journĂ©e remplie d’émotions et de dĂ©lectations La Forge. Une belle adresse authentique qui ne laissera pas vos papilles indiffĂ©rentes et accompagnera vos doux rĂȘves une fois rentrĂ©s dans votre cabane perchĂ©e. Le secret du solsticeauteur inconnu, traduction de l’anglais et adaptation Morgane LafeyDans une blanche forĂȘt d’hiver, vivaient un petit groupe de fĂ©es gardiennes des plantes. Leur maison Ă©tait tapie dans une grotte minuscule entre les racines moussues d’un grand chĂȘne. Elle dormait dans un lit d’aigrettes de pissenlit, de plumes d’oiseaux et de mousse le vent Ă©tait glacial et les flocons de neige recouvraient doucement la J’ai vu le Soleil roi, aujourd’hui, dit la petit fĂ©e des roses en resserrant sa cape de mousse contre elle, il avait l’air si vieux et si fatiguĂ©, qu’a-t-il donc ? C’est Grand ChĂȘne dit qu’il est en train de mourir, rĂ©pondit la fĂ©e des jonquillesMourir ? Qu’allons-nous faire, maintenant ?La fĂ©e des pervenches se mit Ă  pleurerSi le Soleil Roi meure, nos plantes amies ne pousseront plus ! Les oiseaux ne viendront plus chanter et ce sera l’hiver partout et pour toujours !Les fĂ©es des lilas, des pissenlits et des fleurs de tilleuls essayĂšrent de rĂ©conforter leur amie mais elles Ă©taient bien tristes, elles alors qu’on frappa Ă  leur minuscule FĂ©es ! appela une grosse voix, pourquoi vous cachez-vous au lieu de vous joindre Ă  notre fĂȘte du Solstice ?Rose ouvrit la porte sur un petit gnome au bonnet rouge en train d’épousseter les flocons de neige Ă©tincelants de son gilet sommes trop tristes pour faire la fĂȘte dit Jonquille en s’essuyant les yeux, le Soleil Roi est mourant, ne le savez-vous pas ?Oh, mais il est dĂ©jĂ  mort, stupide petites fĂ©es, rĂ©pondit-il d’un air enjouĂ©, allez, maintenant dĂ©pĂȘchez-vous ou nous allons ĂȘtre en retard pour la fĂȘte !Comment pouvez-vous vous rĂ©jouir ainsi ! lança Fleur de Tilleul, sourcils froncĂ©s, en donnant un petit coup de pied au gnome. Si le Soleil Roi est mort, l’hiver s’est installĂ© pour l’éternitĂ©. Nous ne reverrons jamais les chauds rayons du fĂ©es ignorantes ! ricana le gnome facĂ©tieux, vous ne connaissez donc pas le Secret du Solstice ! Souhaitez-vous le dĂ©couvrir ?Les fĂ©es se regardĂšrent puis fixĂšrent le gnome avec Secret ? Dirent-elles toutes en mĂȘme temps, quel secret ? Nous sommes nouvelles dans nos fonctions, stupide petit gnome ! Nous n’avons jamais assistĂ© Ă  une CĂ©lĂ©bration de Solstice !Venez voir ! Venez voir ! Mettez vos capes et venez avec moi ! Le gnome dansa la gigue en chantant dans toute la piĂšce. DĂ©pĂȘchez-vous et ne lambinez pas ! Tous au bosquet du chĂȘne sacrĂ©, lĂ -bas !Puis d’un coup, il pouvait bien vouloir dire ce gnome ? demanda Rose en fermant sa cape de pĂ©tale de roses sĂ©chĂ©s et de duvet d’oie avec des fils de toiles d’ ne sais pas, mais dans le Bosquet SacrĂ© on trouve la Source la jeune fille, la mĂšre et la vieille, peut-ĂȘtre nous expliqueront-elles
Pervenche mis son chapeau.. Les fĂ©es quittĂšrent leur abri si rassurant et partirent Ă  l’aventure Ă  travers la neige en direction du Bosquet du ChĂȘne SacrĂ©. La forĂȘt sombre n’était Ă©clairĂ©e que par quelques lĂ©gers rayons de lunes se frayant un chemin dans les branches des chĂȘnes et des buissons d’aubĂ©pine. Elles avaient du mal Ă  marcher dans la neige, le vent les faisait frissonner, quelle Ă©popĂ©e ! Alors que la neige commençait Ă  mouiller leurs pieds, elle rencontrĂšrent un ours. De son pas lourd et assurĂ©, il s’avança vers elle et leur demandaOĂč allez-vous donc, toutes seules par une nuit si froide ? Au Bosquet sacrĂ© peut-ĂȘtre, pour fĂȘter le solstice ?Oui, nous venons pour dĂ©couvrir le Secret du solstice !Oh, quelles courageuses petites fĂ©es nous avons lĂ  ! Grimpez donc sur mon dos, je vous y emmĂšne ! Mon pelage vous protĂšgera de la morsure du froid. Et il se s’assit pour qu’elle puissent monterLentement mais sĂ»rement, l’ours, emmena les petites fĂ©es vers leur Écoutez ! dit Lilas, alors qu’elles s’approchaient du Bosquet. Quelqu’un chante des chansons bien joyeuses ! On dirait mĂȘme qu’ils sont nombreux Ă  chanter dans la joie !La belle musique leur parvenait portĂ©e par l’air tranquille et froid. C’était la plus jolie musique qu’elle avait jamais entendue. L’ours amena les fĂ©es jusqu’aux abords d’une pierre plate, Ă©norme, presqu’un rocher au centre du Bosquet. Il s’assit Ă  nouveau pour les faire ! dit Fleur de Tilleul alors qu’elles glissaient sur le sol couvert de neige, la Jeune Fille, la MĂšre et la Vieille ! Et on peut voir de nombreux autres invitĂ©s du Petit Peuple !!!Ils sont tous souriants et joyeux, dit lilas en regardant autour d’elleTous les animaux sont lĂ  aussi, chuchota Pissenlit, pourquoi regardent-ils tous la MĂšre ?Les petites fĂ©es s’approchĂšrent des Trois Dames assises sur la grande pierre plate. La MĂšre tenait un paquet dans les bras et lui souriait tendrement. La Jeune fille se dirigea vers les petites fĂ©es et les pris dĂ©licatement dans ses mains. Elle les tint plus prĂšs de la MĂšre, afin qu’elles puissent voir ce qu’elle Un bĂ©bĂ© ! CriĂšrent en chƓur les fĂ©es. Un nouveau nĂ© ! Regardez comme il brille !- Il est le Soleil Roi naissant, dit la MĂšre en souriant- Mais le gnome et le vieux ChĂȘne ont dit que le Soleil Roi Ă©tait mort, lui rĂ©pondirent les petites fĂ©es. Comment ce bĂ©bĂ© peut-il ĂȘtre le Soleil Roi ?C’est le Secret du Solstice d’Hiver dit la Vieille en caressant la joue du bĂ©bĂ© avec sa main ridĂ©e. Chaque annĂ©e, lors des jours les plus sombres et les plus froids, le Soleil Roi se rend dans le Bosquet SacrĂ© oĂč il meure. J’emmĂšne son esprit Ă  la MĂšre qui lui offre une nouvelle vie. Et c’est ainsi pour toutes les crĂ©atures pas seulement pour le Soleil voulez dire, que tout ce qui vit et meure, vit Ă  nouveau ? Les fĂ©es regardĂšrent le bĂ©bĂ© Soleil Roi, blottit dans les bras de la MĂšre, en essayant de comprendre le mystĂšre de sa petits ĂȘtres, rĂ©pondit la Vieille. La vie ne finit jamais, c’est le Grand Secret du Solstice d’ les petites fĂ©es rirent de bon coeur ! Elles Ă©taient tellement heureuses !Je pense que le petit Soleil Roi devrait recevoir des cadeaux, dit Rose. Je lui montrerai oĂč fleurissent les roses sauvages au dĂ©but de l’ je lui enseignerai comment appeler les oiseaux et Ă©couter les chants du vent, dĂ©clara PissenlitLorsqu’il sera plus grand et plus fort, dit la MĂšre, les fleurs fleuriront et son contact, les oiseaux reviendront chanter et l’air sera chaud grĂące Ă  son souffle, et l’hiver sera parti pour un moment. Alors le Soleil Roi courra et jouera avec vous dans la petites fĂ©es chantĂšrent au bĂ©bĂ© Soleil Roi, des chansons du printemps qui vient, de fleurs qui sentent bons, d’abeilles qui bourdonnent et de tous les secrets de la forĂȘt. Et toutes les crĂ©atures du Bosquet SacrĂ© chantĂšrent avec elles. Plus tard dans la nuit, l’Ours les ramena Ă  leur petite maison dans les racines d’un chĂȘne gĂ©ant oĂč leur sommeil fut rempli de rĂȘves merveilleux, attendant la chaleur du printemps et le plaisir qu’elles auraient avec le petit Soleil Roi. Nos actions Les lieux Espace LAL Exposants DĂ©dicaces Partenaires Presse Photos Nos adhĂ©rents Tous les Ă©diteurs Parutions ActualitĂ© ÉvĂ©nements L'Ă©dition Nos revendications Livre blanc L'autre Lettre BoĂźte Ă  outils L'association Statuts Bureau & AdhĂ©sion et inscriptions Agenda Contact Gilles LA CARBONA La lĂ©gende de la fleur de soleil Tome 2 de Gilles LA CARBONA Fiction 5 SENS Paru le 30/11/2021 20,00 € Quand les elfes et les fĂ©es peuplaient encore le monde, ils cultivaient la fleur de soleil. C’était l’assurance de la prospĂ©ritĂ© et de l’amour entre tous les ĂȘtres vivants, du respect de toutes leurs croyances. Un jour des hommes, avides de pouvoir ont violĂ© la forĂȘt sacrĂ©e, et arrachĂ© la fleur de soleil, pour obtenir d’elle la protection et la force qu’elle dispensait aux entitĂ©s de la forĂȘt. Mais leur coeur n’étant pas sincĂšre et leurs intentions misĂ©rables, la fleur finit par pĂ©rir. Une jeune femme, se pencha sur elle et de tristesse se mit Ă  pleurer. Ses larmes Ă©taient pures et son Ăąme honnĂȘte. La fleur refleurit. Gilles La Carbona NĂ© Ă  Villeneuve lĂšs Avignon en 1963, Gilles La Carbona vit actuellement dans le Vaucluse. BercĂ© par la truculence de sa Provence natale, autant que par la douceur de l’ocĂ©an ou le mystĂšre des berges des gaves, l’auteur commence Ă  Ă©crire il y a plus de vingt ans. Romancier, dramaturge, passionnĂ© de littĂ©rature, de nature, Ă©picurien Ă  toute heure, il signe lĂ  son nouveau roman. Le lys et la cocarde Tome 2 de Gilles LA CARBONA Fiction 5 SENS Paru le 01/10/2020 15,30 € L’ocĂ©an est un miroir, un espace sauvage et dĂ©sert dans lequel la libertĂ© n’a pas d’entraves, pas de limites. L’espĂ©rance se nourrit de la ligne d’horizon, ce lointain promis oĂč dorment nos rĂȘves les plus inatteignables. Il ne fait pas de demi-mesure, ne supporte pas les compromis fades et sans consistances. On l’aime ou on le dĂ©teste. La solitude est une constante, la peur s’y mĂȘle, soit on la domine soit elle vous Ă©touffe. Pour qui sait la dompter, la rĂ©vĂ©lation est Ă  la fois sublime et inoubliable. L’ocĂ©an donne autant qu’il reprend, Ă  sa guise et selon une fortune dont il est le seul Ă  maĂźtriser les rouages. Il est Ă  l’image de l’amour, une Ă©treinte Ă©ternelle et soudaine qui ne laisse personne indiffĂ©rent. Gilles La Carbona NĂ© Ă  Villeneuve les Avignon en 1963, l’auteur vit actuellement dans le Vaucluse. Auteur depuis plus de 20 ans, dramaturge depuis peu, il signe lĂ  son huitiĂšme roman. L'instant oĂč les jours s'effacĂšrent de Gilles LA CARBONA PoĂ©sie, Pamphlet, RĂ©flexion 5 SENS Paru le 30/06/2020 11,90 € C’était au printemps 2020, nous ne savions pas ce que cela signifiait exactement, puis l’ordre est tombĂ©, brutal
 tĂ©lĂ©travail ! Confinement obligatoire ! Il y a eu comme un voile, un bourdonnement, ce n’était que le silence qui s’installait dans nos rues, nos villages, et pour certains, dans leurs vies ! Contraints Ă  l’isolement, avec plus ou moins de facilitĂ© selon que l’on habite Ă  la campagne, en appartement ou dans une villa avec jardin, il a fallu s’adapter. Oh certes, ce n’était pas non plus la guerre ! Il n’y avait pas la terreur des attaques de nuit, ni le sinistre sifflement des bombes qui tombent. Non, il y avait la peur sournoise d’un virus dont on ne savait pas trĂšs bien son mode de propagation et surtout dont on nous dressait un portrait de tueur en sĂ©rie. Dans ce contexte hallucinant, un petit groupe a instinctivement mis en place un lien visuel, histoire de ne pas laisser le peu d’humanitĂ© qui semblait nous appartenir encore, s’échapper
 C’est dans ce contexte, que, tous les jours, j’ai adressĂ© Ă  mes collĂšgues un mot. Un mot banal, comme un bonjour, un signe de la main lancĂ© de loin Ă  la face de l’ennui ou de la sottise. Quelques phrases pour se dire que malgrĂ© tout, la vie ne renonce jamais
 NĂ© Ă  Villeneuve lĂšs Avignon en 1963, Gilles La Carbona vit actuellement dans le Vaucluse. Romancier, dramaturge, il propose dans un nouveau style son dernier ouvrage, composĂ© de rĂ©flexions et de pensĂ©es. Le lys et la cocarde de Gilles LA CARBONA Fiction 5 SENS Paru le 01/12/2019 16,20 € Dans la tourmente rĂ©volutionnaire, les esprits s’échauffent, la jeunesse reste confrontĂ©e aux troubles des sens. Roxane, Cyprien, deux ĂȘtres qui n’auraient jamais dĂ» se rencontrer. Deux personnages qui vont dĂ©couvrir que la vie se joue parfois des certitudes les plus solides. C’est Ă  la pointe de leurs Ă©pĂ©es que l’avenir se dessine. Gilles La Carbona NĂ© Ă  Villeneuve les Avignon en 1963, l’auteur vit actuellement dans le Vaucluse. Auteur depuis plus de 20 ans, dramaturge depuis peu, il signe lĂ  son septiĂšme roman. Et les rossignols chantent encore de Gilles LA CARBONA Fiction 5 SENS Paru le 01/03/2019 13,60 € Un livre se rapprochant plus du conte philosophique que du roman, dans lequel les thĂšmes de l’homme, de la vie, de la destinĂ©e sont abordĂ©s de façon originale. Des pistes sont entrevues, des hypothĂšses avancĂ©es. Au-delĂ  de l’audace des thĂšmes, voire de la facĂ©tie de certaines situations, ce roman repose et propose une rĂ©flexion philosophique sur ce qui est essentiel Ă  l’homme de ce qui ne l’est pas. Un livre qui sĂ©duira tous ceux qui aiment se plonger dans le mystĂšre de l’existence, dans ce qu’il a de plus beau et de plus troublant. Gilles La Carbona NĂ© Ă  Villeneuve les Avignon en 1963, l’auteur vit actuellement dans le Vaucluse. Auteur depuis plus de 20 ans, dramaturge depuis peu, il signe lĂ  son sixiĂšme roman. La lĂ©gende de la fleur de soleil de Gilles LA CARBONA Fiction 5 SENS Paru le 27/09/2018 17,00 € Uther Pandragon vient de gagner la guerre et de reprendre le pouvoir comme roi de Bretagne. Il a Ă©tĂ© accompagnĂ© dans cette tĂąche par Merlin, son Ă©lĂšve Fillan et cinq chevaliers venus d’horizons diffĂ©rents. C’est le moment du retour, un autre dĂ©fi les attend, plus sournois, plus Ă©vanescent. Le dessein du mal est de corrompre la puretĂ© pour engendrer le chaos perpĂ©tuel. La lutte s’annonce impitoyable, un homme et une femme vont devenir les jouets et les tĂ©moins de cet affrontement. Personne n’en sortira indemne, pourtant les destins doivent s’accomplir coĂ»te que coĂ»te, au-delĂ  du temps, malheur Ă  ceux qui tentent de s’y opposer. Gilles La Carbona NĂ© Ă  Villeneuve-lĂšs-Avignon en 1963, j’ai grandi et vis toujours dans le Vaucluse. BercĂ© par la truculence de ma Provence natale, autant que par la douceur de l’ocĂ©an ou le mystĂšre des berges des gaves, j’ai commencĂ© Ă  Ă©crire il y a vingt ans. PassionnĂ© de littĂ©rature, de nature, Ă©picurien Ă  toute heure, je signe lĂ  mon quatriĂšme roman, loin des chemins dĂ©jĂ  explorĂ©s. L'ami perdu de Gilles LA CARBONA Fiction 5 SENS Paru le 01/03/2018 16,60 € Deux amis d’enfance partagent tout. Leur mariage rĂ©ciproque ne les a jamais Ă©loignĂ©s, bien au contraire. Chacun a suivi sa route, Ă  l’approche de la soixantaine, arrive l’heure du bilan
 mais qu’ai-je fait de ma vie
 » Les deux hommes commencent Ă  comparer leur parcours, leurs situations. Les doutes apparaissent, les certitudes chancĂšlent. Une petite voix se manifeste et tente d’éclairer et d’apaiser ces consciences troublĂ©es. LĂ  oĂč l’interrogation s’invite, le doute apparaĂźt. Pour autant ce n’est pas forcĂ©ment le plus angoissĂ© qui est le plus Ă  la dĂ©rive. À travers cette recherche de sĂ©rĂ©nitĂ© se rĂ©vĂšlent des secrets, des plaies s’ouvrent au risque de voir les Ăąmes se perdre. L’amour, l’amitiĂ©. Vont-ils sortir indemnes de cet examen de conscience ? Gilles La Carbona NĂ© Ă  Villeneuve les Avignon en 1963, l'auteur vit actuellement dans le Vaucluse. Auteur depuis plus de 20 ans, dramaturge depuis peu, il signe lĂ  son cinquiĂšme roman. Mathilde de Gilles LA CARBONA Fiction 5 SENS Paru le 01/07/2016 17,00 € Mathilde Mathilde a grandi aux cĂŽtĂ©s de sa grand-mĂšre Hortense. Ancienne rĂ©sistante, celle-ci a transmis Ă  sa petite-fille les valeurs de courage, volontĂ©, humanisme. À la disparition d’Hortense, Mathilde est frappĂ©e par la maladie. DĂ©boussolĂ©e, abattue, la jeune femme va se servir des enseignements de sa grand-mĂšre pour ne pas sombrer et rester maĂźtresse de sa vie. Elle va tenter de comprendre et d’apprivoiser le peu de vie qui lui reste, tout en refusant de subir les effets de la maladie et des traitements inutiles et contraignants. Pour ce faire Mathilde entreprend une marche initiatique pour rendre inaltĂ©rables sa jeunesse et sa beautĂ©. À travers des lieux paisibles, elle va avancer vers son ultime acte. Son mari, Renaud, ne pourra qu’accepter le choix de sa femme. À travers un quotidien renouvelĂ©, Mathilde lui enseignera qu’il n’y a pas de renoncement, mais juste la volontĂ© de rester digne. Par amour, il l’accompagnera dans sa dĂ©cision pour que sa femme reste sereine jusqu’au bout. À la disparition de Mathilde, Renaud se devra d’exister selon le voeu de sa femme et Ă©carter la rumeur de sa dĂ©tresse pour n’entendre que le son de l’espĂ©rance. Arrive l’improbable, Viviane, elle qui l’aidera Ă  dĂ©fier la lassitude et l’oeuvre corrosive du temps, ensemble ils rĂ©apprendront Ă  vivre, Ă  aimer. Gilles La Carbona NĂ© Ă  Villeneuve-lĂšs-Avignon en 1963, j’ai grandi et vis toujours dans le Vaucluse. BercĂ© par la truculence de ma Provence natale, autant que par la douceur de l’ocĂ©an ou le mystĂšre des berges des gaves, j’ai commencĂ© Ă  Ă©crire il y a vingt ans. PassionnĂ© de littĂ©rature, de nature, Ă©picurien Ă  toute heure, je signe lĂ  mon troisiĂšme roman, loin des chemins dĂ©jĂ  explorĂ©s.

la foret ou chantent les fees