anonyme- 23 avril 2010 Ã 15:04. ma famille a souffert a cause de gens qui se crois au dessus de tout et qui veulent gerer votre vie alors qu'il ne savent pas gerer la leur. Posez votre question.
Ehben voilà vous savez quoi ça recommence, les langues de pute sont de nouveau de sortie! Franchement je suis déçue mais à un point Je comprends pas comment les gens peuvent être aussi cons!!! Et je vais vous dire, même dans sa propre famille y a moyen de se faire baizer!!! C'est vraiment pathétique,j'en ai marre de ce comportement!
Lauteur Solène BAKOWSKI dédicace son livre il faut beaucoup aimer les gens à la librairie des fables le 27 août 2022. Présentation : À quoi tient la vie ? À nos liens invisibles. Nous, inconnus, sommes raccordés sans le savoir. Nos existences se percutent en silence. Après un séjour en prison, Eddy Alune, 31 ans, est devenu veilleur de nuit, un métier qui lui permet d'échapper
Réponse1 / 13. Meilleure réponse. anonyme. 30 janv. 2011 à 09:55. Ce sont des indiscrets. Et ce n'est pas par pudeur qu'ils évitent de parler d'eux. C'est souvent la jalousie
Cesont celles qui peuvent retrouver l’identité d’une personne sur les réseaux sociaux par exemple. Voici les 4 signes du zodiaque les plus curieux et bavards. Le Scorpion est l’archétype du détective mystérieux. Il est très discret et subtile dans ses actions. Vous raconterez votre vie à un Scorpion sans vous en rendre compte. Il est
Detrès nombreux exemples de phrases traduites contenant "les gens se mêlent" – Dictionnaire anglais-français et moteur de recherche de traductions anglaises.
9K1OL7. Créé par Steven Knight du’La renommée de Peaky Blinders,’See’est une série dramatique d’action dystopique Apple TV +. Au 21e siècle, la majeure partie de l’humanité périt à cause d’un virus. Les descendants de ceux qui survivent perdent le sens de la vue. See’ raconte l’histoire d’un monde où le sens de la vue est devenu le […]
De quoi se mêlent-ils ? » l’échec de l’impérialisme moral en Afrique Par Jean-Pierre Olivier de Sardan Jean-Loup Amselle a récemment décrit avec justesse dans AOC toute la complexité des débats autour a du refus de Idrissa Gueye de porter le maillot arc-en-ciel avec les autres joueurs du Paris Saint-Germain lors de la journée de lutte contre l’homophobie ; b de sa condamnation comminatoire par la Fédération française de football adossée à une forte réprobation médiatique dans l’Hexagone contre le joueur sénégalais ; et c des soutiens multiples dont Gueye a, en revanche, bénéficié au Sénégal, le président Macky Sall inclus. Amselle, après avoir rappelé à juste titre le contexte post-colonial de cette affaire et le conflit récurrent entre universalisme et particularisme, s’est prudemment gardé de prendre position. publicité Je me risquerai pour ma part à aller plus loin et à prendre parti très clairement, car derrière cette affaire c’est aussi toute l’attitude des Occidentaux qui est contestée en Afrique, bien au-delà du Sénégal, jusqu’à et y compris l’aide au développement, dont tout montre qu’elle est en crise profonde. Je pense que les attaques radicales et outrées contre Ibrahim Gueye sont non seulement déplacées mais doivent être condamnées, et qu’elles sont de plus révélatrices d’un mal profond dès lors qu’il est question des pays du Sud en général et de l’Afrique en particulier. À quel titre les dirigeants, autorités, intellectuels et experts occidentaux s’autorisent-ils à donner sans cesse des leçons de morale aux peuples africains, en oubliant les poutres qu’ils ont dans l’œil et en bafouant bien souvent les règles qu’ils veulent imposer aux autres ? Ce sont cette arrogance, cette suffisance, cette condescendance, cette tartuferie, qui expliquent pour une grande part le rejet de plus en plus prononcé de l’Occident France en tête par une très grande partie des opinions publiques africaines, rejet massif dont on voit d’ailleurs dans l’actualité une conséquence que je trouve particulièrement déplorable mais dont il faut comprendre le pourquoi un soutien envers Poutine très souvent affiché en Afrique, pour la seule raison qu’il s’oppose à l’Occident. Revenons-en au cas Gueye. Le joueur n’a pas prononcé d’insulte homophobe, il n’a eu aucun comportement déplacé à l’égard d’un représentant quelconque de la communauté LGBTQI+. Si cela avait été, il mériterait la réprobation et tomberait éventuellement sous le coup de la loi française. Il ne s’est simplement pas associé à une manifestation contre l’homophobie. C’est son droit absolu. Comme c’était le droit de Mbappé de ne pas participer avec l’équipe de France à une promotion de Coca Cola. Chaque joueur est responsable de son image et ne peut être transformé contre son gré en porteur de publicité ou en porte-drapeau idéologique. Que ce soit pour de bonnes ou de mauvaises causes. Il faut lutter d’un côté contre les préjugés par la persuasion et la pédagogie, de l’autre côté contre les actes de discrimination par la critique publique et la loi, mais surtout ne pas mélanger l’un et l’autre. Participer aux Gay Pride ou aux manifestations contre le racisme serait-il alors obligatoire, et ne pas le faire serait-il donc assimilable à un comportement homophobe ou raciste ? Ce serait absurde. Ne pas s’associer à une activité publique contre l’homophobie ne signifie pas être homophobe, pas plus qu’un joueur de tennis russe qui ne critique pas publiquement l’agression russe en Ukraine ne peut être accusé pour autant de la soutenir. Les critiques virulentes contre Gueye n’ont pas lieu d’être. On peut d’ailleurs penser qu’elles ne visaient pas son identité sénégalaise et que tout autre joueur ayant réagi comme lui aurait fait l’objet de cette intolérance. Mais c’est justement parce qu’elles ne tenaient pas compte de son identité sénégalaise qu’elles ont soulevé un tel tollé en Afrique. En effet, pour comprendre mieux l’attitude de Gueye lui-même, le fait qu’il soit sénégalais est incontournable. En refusant de porter le maillot symbolique de l’homosexualité, qui l’aurait sans doute transformé bien malgré lui en militant pro-homosexuel aux yeux de ses compatriotes, Gueye ne voulait sans doute pas tomber sous le coup d’une avalanche de quolibets et d’insultes au Sénégal, où l’opinion publique est clairement homophobe. Cela me semble très compréhensible de sa part. Peut-être aussi je n’en sais absolument rien est-il hostile personnellement à l’homosexualité. Et alors ? Là aussi ce serait son droit ce sont les insultes et les actes homophobes qui sont proscrits non seulement légalement, mais aussi légitimement à mon avis, mais pas le rejet de l’homosexualité à titre personnel en son âme et conscience » selon la formule consacrée. La répression en France de l’homophobie et de toutes les discriminations ne doit pas empiéter sur la liberté d’opinion. À chacun d’entre nous de convaincre nos parents, nos amis, nos collègues ou nos voisins que telle ou telle discrimination qu’ils portent en eux à titre personnel et privé est absurde ou nocive. On ne doit pas pour autant les mettre à l’amende ou au pilori, dès lors qu’ils gardent pour eux leurs clichés et leurs phobies et ne s’en prennent publiquement à personne. Il faut lutter d’un côté contre les préjugés par la persuasion et la pédagogie, de l’autre côté contre les actes de discrimination par la critique publique et la loi, mais surtout ne pas mélanger l’un et l’autre. Passons maintenant aux relations avec l’Afrique, non seulement en ce qui concerne l’homophobie mais plus généralement les interventions des Européens en matière de normes sexuelles et familiales d’une part, de mœurs politiques d’autre part. Il y a beaucoup de valeurs morales considérées désormais au Nord comme allant de soi » que les décideurs occidentaux de tous bords, depuis les grandes agences de développement jusqu’aux ONG grandes et petites, entendent imposer à l’Afrique, non certes par la force, mais par le biais de multiples conditionnalités de l’aide la défense des droits des homosexuels, certes, mais aussi la promotion des femmes, la régulation des naissances, la lutte contre le mariage forcé et le mariage des enfants, la lutte contre la corruption, la démocratie électorale, la transparence et la redevabilité, la promotion de la société civile… Rappelons que, en France, ces valeurs n’ont été admises, acceptées comme largement partagées et inscrites dans la loi que relativement récemment le mariage forcé régnait à l’époque de Molière qui en a fait un sujet favori de ses comédies, l’État français sous Pétain n’était pour le moins pas démocrate, les femmes n’ont obtenu le droit de vote qu’en 1945, les propos racistes et homophobes étaient parfaitement tolérés il y a quelques décennies, l’avortement n’a été légalisé que récemment, la corruption dans le BTP était il y a peu généralisée et n’a pas disparu dans l’industrie de l’armement, etc. Néanmoins mieux vaut tard que jamais, et on ne peut que se féliciter du progrès majeur que constitue l’adoption officielle de ces valeurs morales, au moins au niveau des principes et de l’espace public. Ceci ne signifie pas pour autant que la réalité suive. Je suis de ceux, très nombreux, qui considèrent que, en France même, il y a encore beaucoup de travail à faire du côté de la persuasion, surtout, mais du côté de la loi, aussi, pour que ces valeurs soient inscrites dans la vie et les interactions quotidiennes. La montée de l’extrême droite montre que la lutte contre les discriminations n’a pas encore gagné la partie, loin de là . Cela autorise-t-il pour autant les représentants de la France ou plus largement les décideurs de l’aide au développement et de l’aide humanitaire à donner des leçons aux autres peuples, et à se comporter en militants imposant de l’extérieur ces valeurs aux autres ? Certes, l’exportation systématique vers l’Afrique de valeurs morales devenues incontournables en Occident se fait avec les meilleures intentions du monde, au bénéfice des discriminés, des opprimés, des pauvres il s’agit d’intervenir pour leur bien ». Ceci rappelle d’une certaine façon les discours missionnaires des temps coloniaux. Le problème c’est que ce bien » est perçu par la plupart de ceux auxquels il s’adresse comme un mal », et que ces amis qui nous veulent du bien » sont bien souvent considérés comme des hypocrites qui nous humilient. Le fonctionnement actuel de l’aide occidentale, avec ses injonctions éthiques liées à toute allocation de fonds, a échoué. Car c’est de cela qu’il s’agit. Les projets de développement incorporent quasi systématiquement des conditionnalités morales » dans les procédures de sélection et de gestion des fonds qu’ils allouent, conditionnalités acceptées de mauvaise grâce, mais acceptées quand même car incontournables pour bénéficier de l’aide. Obligation est faite aux institutions africaines qui veulent bénéficier de projets », c’est-à -dire accéder à des guichets de l’aide, d’intégrer à leur action, quel que soit le sujet, la société civile ». Obligation de respecter une parité ou un quota hommes/femmes. Imposition de clauses anti-corruption. Architectures institutionnelles exigées à base d’assemblées générales élisant des bureaux. Etc, etc. Une partie de l’aide va aussi à des projets élaborés à l’extérieur de l’Afrique, par des experts internationaux, pour y développer des comportements conformes aux normes morales occidentales. Les programmes de planning familial ou de lutte contre le mariage précoce en sont un exemple typique. Soyons clairs. Dans la plupart des pays d’Afrique, le patriarcat est la règle et les hommes dominent de façon écrasante la vie publique même si les femmes ne sont pas démunies de contre-pouvoirs, la polygamie est très développée, la corruption est généralisée, l’homophobie règne ouvertement, la démocratie est contournée ou décriée. Le racisme et la xénophobie sont fréquents et souvent à visage découvert. Au Sahel, les mariages précoces et forcés sont toujours nombreux et largement validés socialement et religieusement. L’Afrique pas plus que l’Europe ou l’Amérique n’a rien d’un monde idéal qu’il s’agirait de préserver en l’état. On ne peut donc se satisfaire de cette situation. Mais qui peut la changer ? Une réponse s’impose. Le fonctionnement actuel de l’aide occidentale, avec ses injonctions éthiques liées à toute allocation de fonds, a échoué. Il va à l’encontre de ses bonnes intentions, car ses leçons de morale exacerbent le rejet de l’Occident et par la même favorisent la perpétuation des pratiques locales qu’il s’agissait de modifier. Passons ici sur les problèmes relatifs à la sphère civique démocratie, transparence, corruption, etc… et ne considérons que ceux qui, comme l’affaire Gueye, concernent la sphère privée. L’immixtion des pays riches dans la vie familiale et sexuelle de millions d’Africains est sans doute ce qui exaspère le plus la majorité des opinions publiques africaines. Ce sont des sujets particulièrement chauds, où les malentendus Nord-Sud sont les plus aigus. La planification familiale l’illustre bien. Alors que le fait d’avoir de nombreux enfants relève pour la majorité des couches paysannes et défavorisées d’une rationalité économique partagée c’est une garantie pour les vieux jours faute de toute retraite, d’une rationalité sociale partagée une vaste progéniture restant un signe de prestige, et d’une rationalité religieuse partagée Dieu ou Allah bénissant et favorisant la procréation comme chacun sait, les prêches laïcs sur la nécessité de limiter les naissances sont d’autant moins écoutés qu’ils sont portés par des ONG américaines ou par des agences européennes qui se posent soudainement en protecteurs de l’avenir des pays africains menacés de la bombe démographique, alors qu’on ne leur connaissait pas en général pareille sollicitude. Une théorie du complot très largement répandue en milieu populaire trouve là un terrain favorable incapables d’avoir assez d’enfants et menacés par l’expansion des populations africaines, les Blancs veulent stériliser ces dernières. Chez les intellectuels, on critiquera plutôt l’idéologie néo-malthusienne que les experts occidentaux veulent imposer à l’Afrique. Et pour tous il apparait comme inadmissible que l’Occident se mêle de leurs affaires intimes et veuille imposer sa loi au cœur même de la vie familiale de l’Afrique. Il en est de même avec le mariage forcé des adolescentes qui reste répandu par exemple au Mali ou au Niger. Encore pratiqué par de nombreux parents par peur que les jeunes filles tombent enceintes précocement et attirent ainsi la honte sur la famille, légitimé par la domination idéologique d’un salafisme revenant à l’époque du Prophète, accentué par la pauvreté qui permet à des notables de se procurer par la dot des gamines à bon compte, la lutte contre cette pratique n’est pas si facile. Financée par des institutions internationales et pilotée par des ONG du Nord, lorsqu’elle arrive dans les villages elle suscite la suspicion, laquelle débouche vite sur le rejet. Mais de quoi se mêlent-t-ils encore ? Leur civilisation connue pour sa débauche veut donc dévoyer nos filles et intervenir jusque dans nos arrangements familiaux ? De même, attaquer publiquement et menacer de sanctions un footballeur africain jouant en France pour avoir simplement refusé de porter un maillot symbolique de l’homosexualité est le meilleur moyen de renforcer à la fois l’homophobie au Sénégal où l’homosexualité est considérée comme un crime et le rejet de la France. L’homophobie trouve alors une nouvelle légitimation du côté de Dakar en tant que valeur nationale » sénégalaise face à un ex-colonisateur qui veut imposer ses propres coutumes perçues en outre comme perverses. Inversons deux secondes le point de vue que dirait-on en France si un coopérant parisien en poste à Nouakchott était menacé d’expulsion pour avoir refusé de sacrifier un mouton le jour de la Tabaski ? Il n’y a évidemment pas de solution miracle. Mais face à l’échec des interventions extérieures il y a au moins une piste possible appuyer celles et ceux qui, en Afrique même, tentent de lutter, à leur façon et à leur rythme, contre les mariages forcés, pour le droit à la contraception, contre l’homophobie, pour la légalisation de l’IVG. Elles et ils existent, et il leur faut énormément de courage. Ces militantes sont très minoritaires, mais toutefois ne sont pas pour autant isolés, car une partie de la population n’approuve pas les mariages forcés ou la répression de l’homosexualité, accepte les contraceptifs, tolère les avortements. Mais cette partie-là reste silencieuse, dans la mesure où, sur la scène publique, la scène électorale et la scène religieuse, c’est le rejet des valeurs considérées comme occidentales qui tient de plus en plus le haut du pavé. Tout appui extérieur aux militants ou dirigeants africains qui veulent modifier des comportements largement répandus doit donc se faire discret, à leur demande, à leur écoute, sans leur imposer telle ou telle procédure, tel ou tel calendrier. Cela implique un changement complet de méthode, et en particulier de rompre avec les mises en scène et les mises en récits publiques et parfois tapageuses par lesquelles les ONG et les institutions internationales qui interviennent en Afrique font actuellement savoir au monde entier les mérites de leurs programmes et les vertus de leurs interventions. Seuls les réformateurs de l’intérieur », où qu’ils soient dans l’Etat ou dans la société civile, en haut ou en bas, en ville ou à la campagne peuvent faire évoluer les croyances, faire tomber les préjugés, changer les mentalités, lever les discriminations. Peu à peu et pas à pas. Cela implique aussi de passer par les services publics les systèmes de santé et les systèmes scolaires en particulier, souvent en piteux état, et qu’il faut donc aider à reconstruire en priorité plutôt que de les court-circuiter sans cesse. Les réformateurs de l’extérieur » ne sont ni efficaces ni bienvenus sous les formes actuelles de leurs interventions. Leur impatience missionnaire et leur impérialisme moral sont bien souvent contre-productifs, malgré leurs bons sentiments, voire à cause d’eux. Leurs bons sentiments masquent en effet leur méconnaissance dramatique des réalités locales, et leur manque d’écoute des raisons pour lesquelles les gens font ce qu’ils font. Comme dans le cas d’Idrissa Gueye. Jean-Pierre Olivier de Sardan Anthropologue, directeur de recherche émérite au CNRS et directeur d’études à l’EHESS
Télécharger l'article Télécharger l'article L'on est souvent tenté de s'impliquer dans les conversations des autres, leurs problèmes et leurs vies privées. Cependant, interrompre les gens ou se mêler de leurs drames personnels qui ne vous concernent en rien peut être à la fois inutile aussi bien pour vous-même que pour la personne en question et nocif pour votre propre santé mentale. Vous vous sentirez plus heureux et respecté de vos pairs si vous apprenez quand et comment vous occuper de vos propres ognons. Se mêler de ses affaires ne signifie pas que vous devez vous soustraire à vos responsabilités ou ignorer le monde qui vous entoure. Il s'agit simplement de savoir quand il est préférable d'éviter d'intervenir. 1 Sachez si un problème vous concerne directement ou pas. À moins que vous soyez le concerné immédiat dans un problème personnel, il est préférable de vous occuper de vos ognons en évitant d'intervenir directement dans la situation. Même si vous vous sentez indirectement concernée par le problème, cela ne signifie pas systématiquement que c'est de vous que l'on parle ou vous donne le droit d'intervenir [1] . Pour mieux appréhender une situation, il est utile de faire un diagramme en anneau pour analyser votre rapport avec la situation en question. Commencez par tracer un cercle et inscrivez au centre de ce dernier, le nom de tous ceux qui sont directement affectés par la situation. Ensuite, tracez un nouveau cercle pour ceux qui sont les plus touchés par la question. Continuez à dessiner des cercles externes pour chaque niveau de personnes affectées de sorte que cela ressemble à des ondulations et que vous voyez à quel niveau vous vous trouvez sur le tableau. Par exemple, si vous songez à la rupture d'un ami, vous devrez mettre au milieu du premier cercle, les deux époux, ensuite leurs familles et les amis comme vous seraient en troisième position. Le fait de voir cela peut vous aider à comprendre que, même si vous êtes affecté, ce n'est pas encore à vous de régler ce problème. La meilleure chose que vous pouvez faire est de soutenir ceux qui sont plus directement impliqués. Gardez à l'esprit que cela ne signifie pas que vous devez éviter de vous sentir concerné par les problèmes sociaux comme la santé des enfants ou la pauvreté parce qu'ils ne vous concernent pas directement. Toutefois, si vous le faites, pensez à faire preuve de sensibilité lorsque vous travaillez avec les gens qui sont directement touchés par le problème. 2 Respectez les limites. Sachez que tout le monde a droit au respect de sa vie privée et que chacun est responsable de sa vie. Ne vous attendez pas à ce que les gens partagent avec vous des informations sur leur vie privée ou cherchent à contrôler comment vous gérez votre temps et vos ressources. Faire attention et éviter d'outrepasser les limites de votre relation avec la personne concernée est une bonne manière de respecter ses limites. Par exemple, si vous collaborez avec un client ou un collègue de service, assurez-vous de faire en sorte que vos relations restent strictement professionnelles. Si vous n'êtes pas le parent à un enfant, essayer de lui apprendre la discipline n'est pas conseiller. Accepter et reconnaitre aux gens leurs droits à avoir leurs propre valeur, croyance et opinion est un autre aspect important du respect des bornes. Même si vous n'êtes pas d'accord avec eux, il est souvent préférable de vous occuper de vos affaires plutôt que d'essayer d'interférer avec la croyance des autres. 3 Soyez attentif aux indices. Vous devriez vous retirer lorsque les gens vous le disent directement ou indirectement. Respectez-les lorsqu'ils vous disent que quelque chose n'est pas votre affaire ou changent de sujet. Même s'ils ne vous demandent pas explicitement de ne pas vous mêler de leurs histoires, sachez ce que leur langage corporel veut signifier. Par exemple, s'ils évitent de vous regarder ou s'éloignent de vous ou encore croisent les bras lorsque vous commencez à parler sachez qu'ils vous demandent ainsi de ne pas interférer dans leurs discussions ou de les interrompre. 4 Évaluez le risque associé à une situation. Se mêler de ses affaires ne signifie pas que vous devez agir en spectateur passif lorsque vous êtes face à une situation potentiellement dangereuse. Si vous remarquez qu'une personne adopte un comportement à haut risque, illégal, destructeur ou potentiellement dangereux pour elle-même et pour les autres, il est de votre responsabilité d'agir principalement lorsqu'il n'y a personne d'autre pour le faire [2] . Par exemple si vous voyez deux personnes se battre, pensez à appeler la police. Vous ne devez pas vous dire que ce ne sont pas vos affaires. Si vous remarquez qu'une personne qui est en état d'ivresse essaie de conduire, prenez-lui la clé du véhicule puisqu'il risque de se faire du mal et de faire du mal à autrui. Publicité 1 Évitez de vous incruster. Si personne ne vous a pas invité à un évènement, une rencontre ou à prendre part à une conversation, il vaut mieux éviter de se mêler ou d'interrompre quoi que ce soit. Restez en dehors de ça ou retirez-vous. Bien que le fait de se sentir exclu fasse horriblement mal, il est important que vous reconnaissiez qu'il pourrait y avoir de bonnes raisons pour lesquelles quelque chose ne vous concerne pas. 2 Évitez de donner des conseils non sollicités. Il peut être tentant de donner son avis lorsque l'on se retrouve en face de quelque chose qui ne s'engrène pas avec son style de vie ou ses pratiques quotidiennes. Cependant, agir ainsi signifie que vous en savez plus. Votre intervention ne sera pas la bienvenue à moins qu'on vous la demande expressément [3] . Si vous vous retrouvez en train de donner des conseils aux gens, souvenez-vous que chacun est libre de faire ses propres choix et que ce que chacun décide de faire de sa vie ne vous regarde en rien. Cela passe en partie par le respect des choix et de l'espace des autres. Si vous vous trouvez chez quelqu'un d'autre, ne vous dites pas qu'il doit adopter votre mode de vie. Laissez-le développer ses propres habitudes et principes sans intervenir. 3Évitez de porter des jugements sur les gens. Il est naturel de porter des jugements sur les gens, alors il est important d'être conscient des inconvénients de cet instinct et d'y mettre un frein. Éviter les jugements trop hâtifs lorsqu'il s'agit de s'occuper de ses affaires signifie renoncer à l'hypothèse selon laquelle vous comprenez parfaitement une situation. Accordez à toutes les parties concernées le bénéfice du doute tant que vous n'êtes sûr de rien [4] . 4 Soutenez les gens sans intervenir. S'occuper de ses affaires ne signifie pas que vous devez éviter de témoigner aux gens votre amour et votre soutien. Cela signifie simplement que vous devez éviter de jouer au réparateur de tort, car si vous le faites, vous risquez d'empirer la situation au lieu de la résoudre [5] . Par exemple si votre frère divorce, évitez de jouer au conseiller matrimonial. Cependant, vous pourriez lui permettre de se sentir à l'aise, lui tenir compagnie ou prendre soin de ses enfants de temps en temps. Cela l'aidera sans pour autant contribuer au stress ou au drame de la situation. Publicité 1 Gardez votre distance ou partez. Faire des commérages en parlant de la vie privée des gens et souvent sans preuve n'est pas bien. Si vous le faites, sachez que vous faites tout le contraire de ce que l'on voudrait que vous fassiez quand on vous demande de vous occuper de vos affaires. Si vous remarquez que des gens ont tendance à faire des ragots ou essaient de commérer, prenez vos distances simplement. C'est la meilleure chose que vous puissiez faire [6] . Si vous vous retrouvez impliqué dans une conversation ou des gens commencent à colporter des histoires sur leurs prochains, vous pouvez montrer votre opposition à ce fait en vous retirant simplement. Offrez-vous une porte de sortie, en disant désolé de vous interrompre, mais j'ai du travail à faire » et éloignez-vous. 2 Changez de sujet. Si vous remarquez que la conversation commence de plus en plus à s'accentuer autour des commérages, changez de sujet ou essayez de le réorienter. Cela prouvera que vous n'avez aucune envie à prendre part aux commérages. Vous pouvez le faire sans même avoir à réprimander le ou les coupables [7] . La meilleure manière de réussir à faire cela est de recentrer la conversation sur les questions d'ensemble plutôt que sur les questions privées. Par exemple si vous êtes au travail, commencez à parler de l'entreprise plutôt que des problèmes personnels d'un de vos collègues. 3Mettez fin aux rumeurs. Évitez de vous laisser entrainer dans les ragots et ne répondez pas de sorte à apporter encore de l'eau au moulin. Pensez à rester silencieux. Si vous entendez des commérages, évitez de les répéter ailleurs. Faites en sorte à vous assurer que cela s'arrête à vous [8] . 4 Surprenez-vous sur le fait. Si vous remarquez que vous faites ou êtes sur le point de colporter des rumeurs, ravisez-vous lentement. Si vous avez l'impression d'avoir dérapé au cours d'une conversation, reconnaissez que votre remarque était impertinente et changez de sujet [9] . Ce faisant, vous pourrez être plus conscient de la façon dont vous participez aux ragots et cela vous permettra de l'éviter plus facilement à l'avenir. Cela vous donne aussi l'occasion de montrer l'exemple en assumant votre responsabilité dans la perpétuation des rumeurs et les comportements négatifs. 5 Partagez les bonnes nouvelles. Faites un effort particulier pour partager les bonnes nouvelles. Les ragots sont des manières négatives de spéculer sur les autres. Combattez cela en essayant de distiller dans l'opinion de bonnes informations sur les gens au cours de vos conversations [10] . Par exemple si une personne essaie de colporter des rumeurs sur la vie sexuelle de l'un de vos collègues, essayez de recentrer la conversation autour de son récent et brillant travail ou du bénévolat qu'il fait à la banque alimentaire locale. 6 Donnez l'exemple. Vous devez montrer que vous ne participerez pas à des ragots nuisibles, tout en évitant de paraitre moralisateur à ce sujet ce qui est aussi une manière de s'ingérer dans les affaires d'autrui. La solution est plutôt d'être un leadeur par votre comportement et vos actions et non par des sermons ou de tomber dans le dogmatisme [11] . Si vous avez du mal à ne pas colporter des rumeurs, commencez petitement. Prenez le pari de ne pas le faire pendant toute une journée. Si vous y arrivez, essayez d'étendre de plus en plus le délai jusqu'à ce que cela ne soit plus un défi, mais une habitude pour vous. Publicité Conseils Apprendre à s'occuper de ses affaires peut avoir d'importantes retombées sur le plan personnel et social. Cela fera de vous une personne plus sympathique et plus heureuse. Pour apprendre à vous occuper de vos affaires, vous devrez être patient parce que cela nécessite beaucoup de temps. La première chose à faire est de prendre conscience du problème et de savoir comment y faire face. Soyez patiente envers vous-même pendant que vous essayez de mettre en pratique ces connaissances dans votre vie. Publicité Avertissements S'occuper de ses affaires ne signifie pas être insensible au monde qui vous entoure ou ignorer l'existence des autres. Il s'agit plutôt de savoir à quel moment et dans quelles circonstances intervenir. S'occuper de ce qui vous regarde ne signifie pas que vous devez agir en spectateur passif lorsque vous êtes témoin d'un fait ou d'une activité illégale. Pensez toujours à contacter les autorités compétentes lorsque vous voyez quelque chose d'anormal. Quand bien même les gens vous demandent d'intervenir, sachez qu'il n'est jamais sage de se mettre au milieu du problème des autres. Montrez-leur plutôt votre soutien et conseillez-leur si nécessaire de se rapprocher d'un professionnel compétent en la matière. Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 12 810 fois. Cet article vous a-t-il été utile ?
Que les gens se mêlent de leur CUL !!!!! Publié le 01/06/12 à 1106 dans Je suis en rogne c'est pas possible !!!!!!! J'ai bien cru que j'allais assassinée un petit groupe de vieux ce matin !!!!! Je vous remette dans le contexte Ce matin on part de la maison avec Gabou pour aller rejoindre la maman de la petite que je garde, au tram, on le fait le mardi et le vendredi, les jours où elle commence plus tôt. Nous habitons dans une résidence, où les voitures vont très vite. On commence à sortir du bâtiment, on va pour traversé, Gabou me donne la main sauf que arriver sur le trotoire il faitmarche arrière et se met en plein milieu de la route pour rammasser un oeil de T-Rex caillou. Sauf qu'au même moment une voiture arrive !!! Je l'attrappe par le bras et lui explique que c'est dangeureux ce qu'il a fait et lui s'en fou il veut retourner prendre son caillou !!!!!!!!! Je lui explique que comme là je peux pas lui faire confiance je lui donne la main jusqu'au tram !!! Il s'est mis à hurler à pleurer !!! il criait lâche moi lâche moi !!!!! ça a duré 5 bonne minutes le temps qu'on arrive au tram !!! On arrive au tram déjà tout le monde nous regarde car, ils avaient dût entendre Gabou hurlé dans la rue !!!! Mais je m'en fou comme j'ai dit à Gabou "cri ça ne me dérange pas !!!!" Et là j'entends quoi ???? "ENCORE UNE MERE MODERNE UNE MERE QUI DEMISSIONNE " là je les ignore et je dit à Gabou assieds toi avec moi maman te réexplique pourquoi .... ET EN MEME TEMPS J'ENTEND DE MON TEMPS ON METTAIT UNE BONNE FESSEE ET ON EST PAS MORT !!! bbbbbboooooooouuuuuuuuuuhhhhhh j'ai bouilli !!!! j'ai regardé le groupe et je leur ai dit bah oui c'est clair une fessée ça prend 5 sec expliqué ça prend plus de temps mais en même teps mon fils il est calmé et il a pas eu de fessée !!! vous par contre vous avez dû en recevoir bcp sans explication ça vous a rendu con !!!!!! je regrête de m'être emporté !!! je regrête se manque de respect pour les personnes âgées, mais je supporte pas qu'on remette en cause ma méthode d'éducation 30 Articles
Gratuit L'auteur Solène BAKOWSKI dédicace son livre "il faut beaucoup aimer les gens " à la librairie des fables le 27 août 2022. Présentation À quoi tient la vie ? À nos liens invisibles. Nous, inconnus, sommes raccordés sans le savoir. Nos existences se percutent en silence. Après un séjour en prison, Eddy Alune, 31 ans, est devenu veilleur de nuit, un métier qui lui permet d'échapper aux gens et aux ennuis. Il vient de perdre son père. En vidant l'appartement de son enfance, il retrouve des... Lire la suite L'auteur Solène BAKOWSKI dédicace son livre "il faut beaucoup aimer les gens " à la librairie des fables le 27 août 2022. Présentation À quoi tient la vie ? À nos liens invisibles. Nous, inconnus, sommes raccordés sans le savoir. Nos existences se percutent en silence. Après un séjour en prison, Eddy Alune, 31 ans, est devenu veilleur de nuit, un métier qui lui permet d'échapper aux gens et aux ennuis. Il vient de perdre son père. En vidant l'appartement de son enfance, il retrouve des effets personnels qu'il a volés, vingt ans plus tôt, à proximité d'une SDF morte dans la rue. Poussé par la culpabilité, il décide de rendre à cette femme l'histoire qui lui a été enquête commence, dans laquelle Eddy se lance magnétophone à la main, pour ne rien oublier. De rencontre en rencontre surgissent plus que des souvenirs. Des liens nouveaux se tissent et la mémoire, ravivée par Eddy, va bouleverser bien des vies. Il faut beaucoup aimer les gens trace le parcours d'un homme ordinaire qui, voulant réparer ses fautes, se trouve réparé par les autres. Ce roman pudique et profondément humain dessine les contours extraordinaires des visages qui font notre quotidien. Afficher moins Contacter par email Tarifs Gratuit — Horaires Horaires Le 27 août 2022 à 1130
les gens qui se mêlent de la vie des autres