ï»żORANGEIS THE NEW BLACK - ALEX VAUSE FUNKO POP! VINYL FIGURE | Pop Addiction Funko Pop - Collectables - Merchandise - Comics and much more from the Geek world! Envios RĂĄpidos e GrĂĄtis em encomendas superiores a 45€ ! X Funko Pop! Animation . Funko Pop! Rick and Morty; Funko Pop! Anime | Manga . Funko Pop! Dragon Ball; Funko Pop! Naruto; Funko Pop! Artists; AcheterFigurine Pop! Vinyl Orange Is The New Black Red depuis Pop In A Box FR, la rĂ©fĂ©rence en boutique et abonnement Funko Pop Vinyl et bien plus encore. RĂ©cemment la nouvelle saison de Orange Is The New Black remet la question au centre des prĂ©occupations, avec son personnage de Sophia Burset jouĂ©e par l'actrice trans Laverne Cox. Elle a Ă©tĂ© Popin Orange is the New Black, a Russian-American inmate who sat high atop the prison social pyramid (and who also ran the kitchen whose NEWARRIVALSVIEW ALL Vlone x Tupac Thug Life Album Art Black T-Shirt $ 180.00; 33%. Select options Add to wishlist. YoungBoy NBA x Vlone All In Tee $ 299.99 $ 199.99; 25%. Select options Add to wishlist. Vlone Young Boy Kacey Talk Hoodie $ 299.99 $ 224.99; 7%. Select options Add to wishlist. Vlone Rodman Devil Hoodie – White $ 300.00 $ 280.00; 28%. Select Justin time for the start of Orange Is the New Black ’s fourth season, Netflix is taking over Singapore’s OverEasy cafe on June 16 and 17 and turning it into a high-class prison-style diner RnNsyy. What are you most likely to get into trouble for at school? What do you like to do in your spare time? Who do you prefer hanging out with? Friends or family? What kind of music do you love? What is your make-up essential? Which word would your friends use to describe you? You're Piper! You're a pretty smart, attractive cookie who draws a lot of attention. You're also pretty strong and take absolutely no grief. You're Red! You're a strong lady, indeed and make the best of a bad situation. You're also one hell of a cook and are sometimes described as the mum of the group. You're Crazy Eyes! You're a loveable person who loves to make people laugh and, in turn, laughs a lot. You like being creative, whether that be through writing or acting and are reliable when your friends need you. You're Pennsatucky! You're enthusiastic and strong-minded in what you believe. You're fierce when you want to be and will stick up for your friends in a fight. You're Poussey! You're kind and funny and enjoy reading and taking naps in your spare time. You're a supportive friend, always looking out for everyone's best interests. You're Taystee! You're the coolest kid on the block! You're kind, funny and make the best kind of friend. You're always grooving to your own beat and here to crack all the jokes. You're Morello! You rock that red lip, classic, thing that we like and you're one of the kindest people around. You're a bit of a hopeless romantic and make friends very easily. You're Sophia! Your make-up game is always strong and you're the designated MUA of the group. You're also seriously sassy, but try to avoid getting involved in confrontation if you can. OITNB est en passe de devenir la plus vieille sĂ©rie de Netflix. La plateforme et la crĂ©atrice Jenji Kohan peuvent-ils encore se renouveler ? Comment fait-on durer une sĂ©rie Ă  l’ùre des plateformes de SVOD et des changements de mode de visionnage ? Retour sur une saison 6 Ă  la fois poignante et dĂ©cevante. Cet article contient des spoilers sur la saison 6 de Orange is the new black Vous n’avez pas prĂȘtĂ© attention ? Il n’y a pas de justice ! » s’époumone Tasha Jefferson, derriĂšre les barreaux de sa prison provisoire. Dans quelques minutes, elle sera jugĂ©e coupable du meurtre d’un gardien qu’elle n’a pourtant pas touchĂ©, par un jury populaire convaincu de sa culpabilitĂ©. C’est lĂ  l’un des seuls moments poignants de cette sixiĂšme et derniĂšre saison en date d’Orange is the new black, mise en ligne le 27 juillet dernier par Netflix. Le rythme de diffusion de la sĂ©rie originale phare de la plateforme est toujours le mĂȘme une saison par an, 13 Ă©pisodes d’une heure et
 beaucoup de longueurs. Un manichĂ©isme un peu primaire Ce nouveau volet s’ouvrait pourtant sur un changement important de cadre les dĂ©tenues de Litchfield ont Ă©tĂ© transfĂ©rĂ©es dans un quartier de haute sĂ©curitĂ© aprĂšs la grande rĂ©volte de la saison prĂ©cĂ©dente. Finis, les privilĂšges, les dortoirs communs et la chapelle oĂč les femmes pouvaient discrĂštement s’encanailler. À prĂ©sent, Piper, Cindy, Gloria, Nicky et les autres sont sĂ©parĂ©es en diffĂ©rents blocks » qui se livrent une haine de principe Ă  cause de deux sƓurs ennemies qui rĂšgnent sur des quartiers sĂ©parĂ©s. Évidemment, les mĂ©chants ne sont pas ceux que l’on croit les dĂ©tenues sont victimes de toutes sortes d’abus perpĂ©trĂ©s par les nouveaux gardes, qui organisent un jeu secret malsain grĂące auquel ils gagnent des points si les prisonniĂšres se battent entre elles. Orange is the new black n’a jamais Ă©tĂ© d’une grande finesse pour ce qui est de la reprĂ©sentation du systĂšme carcĂ©ral, donnant parfois dans le manichĂ©isme primaire. Mais sa capacitĂ© Ă  montrer des femmes de couleur, de minoritĂ© de genre, sexuelles ou religieuses, et de donner la parole Ă  celles qui sont gĂ©nĂ©ralement cantonnĂ©es aux seconds rĂŽles en a fait une des productions les plus importantes des annĂ©es 2010. L’ùre des serious women AprĂšs l’ñge des difficult men des Soprano, The Wire et autres Mad Men, Orange is the new black a aidĂ© Ă  porter le mouvement des serious women, des femmes qui ont des choses Ă  dire et Ă  qui on donne la possibilitĂ© de le faire. Mais aprĂšs six annĂ©es de temps de parole, comment la sĂ©rie de Jenji Kohan peut-elle encore Ă©voluer ? De la difficultĂ© de faire vivre une sĂ©rie sur une dĂ©cennie Si elle est renouvelĂ©e pour une saison 7, OITNB deviendra la plus vieille sĂ©rie originale de Netflix — House of Cards, son aĂźnĂ©e de quelques mois, prendra fin aprĂšs la mise en ligne de sa saison 6, sans Kevin Spacey, le 2 novembre prochain. Or si Netflix produit aujourd’hui des centaines de contenus originaux, on a tendance Ă  oublier que la plateforme de SVOD amĂ©ricaine est encore toute nouvelle dans le monde des sĂ©ries. La multinationale n’a encore jamais Ă©tĂ© confrontĂ©e aux difficultĂ©s de faire vivre une sĂ©rie sur une dĂ©cennie, avec ce que cela implique comme alĂ©as de castings, besoin de renouvellement et pertinence des sujets choisis. Faire Ă©chouer vos personnages prĂ©fĂ©rĂ©s Lorsqu’elle s’écrie qu’il n’y a pas de justice ni pour Poussey, ni pour elle, Taystee montre le boulevard qu’a Orange is the new black devant elle en matiĂšre de possibilitĂ©s narratives. Parce que le public est tellement habituĂ© Ă  voir ses personnages prĂ©fĂ©rĂ©s sortir vainqueurs de circonstances tragiques, la saison 6 d’OITNB frappe fort en nous montrant que non, les femmes noires ne peuvent pas s’en sortir, et oui, le systĂšme judiciaire amĂ©ricain n’est intrinsĂšquement pas fait pour les sauver. Et ça fait comme un coup dans l’estomac, une douleur fantĂŽme qu’on a du mal Ă  oublier. C’est Ă©galement le souffle court que l’on assiste Ă  la premiĂšre scĂšne de la saison 6, qui s’étend sur huit minutes, prĂ©sentĂ©es sous la forme d’un dĂ©lire Ă©veillĂ© de Suzanne qui imagine ses camarades en cage, dĂ©guisĂ©es en clowns, qui lui font un show pour la divertir. Une maniĂšre d’insister sur le caractĂšre performatif inhĂ©rent Ă  l’environnement carcĂ©ral — dĂ©jĂ  Ă©voquĂ© Ă  plusieurs reprises dans la mythique expĂ©rience de Stanford —, qui pousse les dĂ©tenues Ă  intĂ©grer les codes de la soumission, tandis que les gardes reprennent ceux associĂ©s Ă  l’autoritĂ© excessive et violente. Alors pourquoi reste-t-on tellement sur notre faim ? Peut-ĂȘtre parce que Netflix, notamment contraint par son carcan de 13 Ă©pisodes, accouche Ă  nouveau d’une saison qui prĂ©sente de grosses longueurs. À l’image d’un paquet de chips gonflĂ© d’air qui se fait plus gros qu’il n’est rĂ©ellement, on rĂ©alise rapidement que certains Ă©pisodes — pour ne pas dire, toute l’intrigue autour des deux sƓurs ennemies — s’apparentent Ă  du remplissage, de surcroĂźt d’une pauvretĂ© narrative caractĂ©risĂ©e. À l’heure oĂč les plateformes engendrent de nouveaux modes de consommations et que le public est prĂȘt Ă  engloutir tous les Ă©pisodes Ă  sa disposition, rĂ©ussir Ă  faire durer une sĂ©rie sur une dĂ©cennie sera un trĂšs gros dĂ©fi, qui n’a encore jamais Ă©tĂ© relevĂ©. Orange is the new black a les moyens de le faire, encore faut-il qu’on lui en donne la possibilitĂ©. Collectionneur, protĂ©gez vos figurines Funko POP! Encore plus de produits Orange is the new black Les acheteurs de ce produit ont Ă©galement regardĂ© INFOS PRATIQUES Faites des Ă©conomies en prĂ©commandant vos produits et bĂ©nĂ©ficiez entre 5 et 10% de rĂ©duction sur le prix normal de nombreux produits. Pensez-y! Paiement CB, virement bancaire et paypal 1 possibles. La vente de ce produit est proposĂ©e jusqu'Ă  rupture de stock de celui-ci. 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Mais Lionsgate Television, le producteur de la fiction carcĂ©rale, ne compte pas s'arrĂȘter lĂ . Orange Is the New Black reste l'une des sĂ©ries les plus regardĂ©es sur Netflix. 
 Quand le temps sera venu, nous allons discuter davantage avec Jenji Kohan [NDLR la crĂ©atrice] au sujet d'une Ă©ventuelle suite », a dĂ©clarĂ© le PDG du studio indĂ©pendant au cours d'une tĂ©lĂ©confĂ©rence, relayĂ©e par le site spĂ©cialisĂ© Hollywood Reporter. Selon Tara Hermann, l'une des productrices, les Ă©quipes d'Orange Is the New Black ont plusieurs idĂ©es de spin-off Ă  l'Ă©tude. Parmi elles une piĂšce Ă  Broadway, ainsi qu'une autre sĂ©rie centrĂ©e sur des couples, comme ceux formĂ©s par Larry Bloom et Polly Harper ou par Cal et Carol Chapman. Mais la productrice prĂ©cise qu'il faudra attendre la fin de la septiĂšme saison avant que tout cela ne dĂ©passe le stade embryonnaire. À l'image de Breaking Bad avec Better Call Saul et de Game of Thrones avec son futur spin-off, l'univers d'Orange Is the New Black semble bien parti pour un nouveau tour de piste. DĂ©butĂ© en 2013, le programme est inspirĂ© d'une histoire vraie et met en scĂšne la pĂ©riode carcĂ©rale de Piper Chapman incarnĂ©e par Taylor Schilling, mise en dĂ©tention au sein de la prison de Litchfield pour trafic de drogue. SaluĂ©e pour ses dialogues incisifs, ses personnages attachants issus de la diversitĂ©, Orange Is the New Black s'est imposĂ©e au fil des saisons comme l'une des tĂȘtes de gondole de Netflix. La dramĂ©die » a contribuĂ© Ă  populariser la plateforme de streaming, oĂč elle est exclusivement diffusĂ©e. En attendant cette fameuse suite, on pourra assister en 2019 aux ultimes aventures carcĂ©rales de Piper, Alex et Crazy Eyes, Ă  l'occasion d'une septiĂšme saison qui promet d'ĂȘtre riche en Ă©motions. Je m'abonne Tous les contenus du Point en illimitĂ© Vous lisez actuellement Orange Is the New Black pourrait avoir droit Ă  une suite Le pouvoir expliquĂ© par les sĂ©ries 8,90€ Qui n’a jamais rĂ©flĂ©chi Ă  l’ascension du populisme devant un Ă©pisode des machiavĂ©liens Game of Thrones ou Baron Noir ? Ou au bien-fondĂ© – ou pas – de la transparence en politique en visionnant Borgen ? Quant au succĂšs planĂ©taire de La Casa de papel, ne reflĂšte-t-il pas la montĂ©e de la pensĂ©e antisystĂšme » dans nos dĂ©mocraties ? Plus pragmatiquement, que nous enseignent, du pouvoir, de ses enjeux et de ses jeux, sur la maniĂšre dont on le conquiert et dont on le garde, les grands rĂ©cits contemporains que sont les sĂ©ries ? Soyez le premier Ă  rĂ©agir Vous ne pouvez plus rĂ©agir aux articles suite Ă  la soumission de contributions ne rĂ©pondant pas Ă  la charte de modĂ©ration du Point. Killer Serials ORANGE IS THE NEW BLACK, Season 3, Eps. 4-6 June 23, 2015 J. Ryan Parker Tony and I are back with the second installment of Killer Serials and a look at episodes four, five, and six of the third season of Orange is the New Black. JRP So we got off to a good start with themes of motherhood, spiritual longing, and the tension between truth and confession. While those themes are still prevalent across the next three episodes, new ones take center stage, and I think two rise to the top. The first is the notion of identity or maybe identity ownership and who can be what and who can say what. The second is the privatization of Litchfield with the arrival of MCC and the Whispers Lingerie contract. Boo’s character drives Episode 4 and it’s a fundamental discussion of identity and how it functions. I found her teenage relationship with her father to be a breath of fresh air, but as an adult, when she visits her mother in the hospital, it turns into something that we’ve seen before, even in this series. Is her sexuality her true self or is it a costume she wears like her father suggests, or is it a combination of both? Her father tells her, “No one gets the privilege of being who they are all the time.” When Boo tries to “pass” as “evangeli-crazy” she can’t do it, because it has been a main source of her oppression for so long. In the kitchen, and across the prison, Norma is taking up her own spiritual practice and she is gaining popularity, much to Gloria’s chagrin. Gloria confronts Norma and tells her, “Santeria is some serious shit. [
] This ain’t your culture. This ain’t your history.” Closely related to this in terms of spirituality is the popularity of Kosher meals among some of the prisoners. Black Cindy takes advantage of religious freedom and begins eating them even though she’s not Jewish. Nor is Lolly, the new prisoner who starts the craze. Finally, in terms of identity, as the women begin working in the “sweatshop,” Piper calls it for what it is, slave labor. Black Cindy and Janae hear her and promptly correct her. Janae tells her, “You don’t get to say that.” Black Cindy says the more appropriate definition is indentured servitude, which Piper wouldn’t know about either. But, in this case, Piper is right. She, like Black Cindy and Janae, is being exploited for pennies on the hour. TJ Identity is primary, as you say, but even now it’s tied to motherhood, which I think is emerging as the overriding issue of season three. Each character, it seems, has a tortured relationship with her mom, and that hangs over their desire to develop and mature. I really love that we’re getting backstories of the next ring of characters, including Big Boo. As you suggest, her parents’ rejection of her sexuality is redundant — that’s what drove Poussey away from her parents — but it’s surely common enough in the real world to merit that. I’m fascinated by the identity issues in episode six, “Ching Chang Ding Dong.” Before watching it, I’d been wondering if anyone at Litchfield is lonelier than Poussey, and I thought of Chang. Then this episode delved into her background, showing her as an acne-scarred Chinese immigrant, too homely even to be sold into marriage. But we also saw that she has a secret life at the prison that seems to bring her much fulfillment. If Chang’s appearance as a young woman shaped her identity, so does Piper’s. The conversations about beauty are fascinating around the Whispers Lingerie sewing tables. The women debate different racial standards of beauty, but they all agree that the standard white version is skinny and blonde. And they all look at Piper. But Piper is complaining about her looks, which is when a new character, Stella, calls bullshit on her. When it comes to identity, Piper may know herself least of anyone. Though Caputo may give her a run for her money. JRP The privatization of Litchfield Prison is a damning depiction of something we don’t often talk about in mainstream conversations. I know that many people refuse to watch the series and, for me, this is one of the more troubling aspects of this new season. It’s mining humor from one of the most inhumane practices in twenty-first century America. Not only are wages criminally low, new management looks to save money even on feeding the prisoners. MCC representatives complain that Caputo can’t get the per-meal-average down to the national standard of $ he’s 21 cents off. But the privatization of prisons doesn’t result in just slave labor, it exploits the guards and staff as well, whose benefits are cut to save money. Less strenuous hiring practices lead to ill-equipped guards, which are ineffective in keeping order. I I think one key aspect of the privatization of Litchfield is part of a larger theme food and its implication for agency and freedom. Red is literally devastated when MCC ships in bagged food to feed the inmates. Even though she was working with shitty ingredients in previous seasons, she was still preparing and cooking it. Part of Chang’s fulfillment comes from her ability to make and eat the type of food she likes. TJ I love that work that Chang does to create meals that are gratifying to her. But it’s also heart-rending because of the amount of work she has to go through to make it happen. And I agree completely about the privatization issue. I’ve read a couple pieces where commentators disparage OITNB because it makes light of prison and doesn’t show how difficult life inside really is, and I thought of that during Chang’s time in the shed, eating an orange and watching TV on a phone, wondering, Would she really have that much freedom? But in spite of these, I commend Kohan for raising the issue of privatization this season. Kohan is in good company in using comedy to shed light on our country’s moral failure — that’s exactly what Robert Altman and Larry Gelbart did with M*A*S* Check back next week for our dialogue on episodes 7, 8, and 9.

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